Usine Ropp

Voici le site du ministère de la culture sur l'usine Ropp à Baume les Dames
Une multitude de Photos
A découvrir ou à re-découvrir
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Et moi qui pensait qu'ils étaient à Saint-Claude.

Du déjà vu pour moi,mais une petite révision qui réveille la mémoire,merci Gonzague

Davy Jones a écrit:Et moi qui pensait qu'ils étaient à Saint-Claude.

Pareillement, je croyais aussi qu'elles étaient fabriquées à Saint-Claude. Voici celle que je me suis procuré il y a deux ans.

Une p'tite ROPP avec son tuyau en corne :

Je n'avais pas eu la chance de voir ces images et reportages, merci mon cher Gonzague ! 

Pour ceux qui ne situent pas les deux lieux voici une carte
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Merci pour ces apports intéressants.

Gonzague, tu aurais pu éviter de couper Belfort sur ta carte...

Rwoooooo! 
T'as qu'as pas habiter si loin.

Fred-r a écrit:Gonzague, tu aurais pu éviter de couper Belfort sur ta carte...

Mais il n'a pas couper "Vesoul", et de suite ça me rappelle une chanson de Brel.

Excuse le hors-texte, camarade Gonzague  .

Pas de problème El Che.  J'apprécie beaucoup le Grand Jacques et j'y avais pensé.

Puisque tu montres ta Ropp avec tuyau en corne, El Che, j'en avais acheté une aussi semblable à la tienne et elle est devenue rapidement une grande déception au niveau fumage.

J'ai tout essayé, dedans, va/pér; burleys, latakiés; et aros et elle fumait d'un moche, c'est pas croyable.  Ce qui est bien dommage car elle était bien jolie.

Euh, je ne comprends pas ta réaction, El Che.

Malheureusement, il y a des bruyères qui, quoique l'on fasse et quoiqu'on y met, sont mauvaises fumeuses.

Sure, il y a certains critères admis qui stipulent que les aros font mieux avec les gros foyers; les latakiés et virginie, avec des foyers moyens; les flakes, des foyers petits-moyens; les bruns et semois font mieux dans des moyens ou gros foyers, selon leur coupe; etc.

Mais ce n'est pas une science exacte, pour la raison suivante:

J'ai découvert, tout au long de mes pétunages, que chaque bruyère a sa personnalité propre; en ce sens qu'elle a une interaction différente avec chaque tabac, parfois positive, parfois négative, selon le type de tabac et la coupe. Cela est due à la densité du bois, la teinte qu'on y a mise (qui permet aux fibres de bien respirer, ou moins bien, si c'est un vernis, une laque, etc), si elle est lisse, sablée ou rustiquée; son poids, etc.

Par exemple, ma Blatter Volcano, je l'ai regardé et me suis dit: burleys. Eh bien, elle s'entend vraiment bien avec le Wessex Burley Slices et le Symphony. Ma BC Calumet, qui a un foyer assez généreux, je croyais que les aros lui conviendraient; eh non, c'est les burleys.

Ma Rattray Army lisse, je me suis dit latakiés et çà fonctionne très bien. Mais ma Rattray sablée, elle a finalement été compatible avec des virginies.

Ma Stanwell Pda 2008, elle m,a donnée du fil à retordre, c'est pas croyable, comme la Ropp. Petit foyer, j'ai essayé des virginie/périque: horrible. Puis du brun: horrible. Puis des latakiés: horrible. Enfin, découragé, j'ai essayé un aro. Bingo!

Mais la Ropp, elle fumait dégueulasse, peu importe ce que j'ai essayé. Cela arrive qu'une bruyère soit une merde.

Ce n'est pas dûe à la marque, mais la bruyère.

Bravo, mon ostie; tu m'as bien fait marcher!