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Vieux articles (1990/96) sur le semois
2 participants
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Vieux articles (1990/96) sur le semois
LE TABAC,SEMOIS ! RENTABILITE DENIGREE
STAGIAIRE; MILUTIN,ROGER
Page 13
Vendredi 9 août 1996
SECTEUR LE TABAC, SEMOIS ! Sur les bords de la rivière ardennaise, neuf planteurs et quatre fabricants survivent Situé
sur les hauteurs de Bouillon, le pays du poète Verlaine domine les
méandres de la Semois, au coeur des Ardennes.Cultivé depuis le 16e
siècle entre Rochehaut et Poupehan, ou entre Bohan et Corbion, le «tabac
Semois»n'y est plus défenduaujourd'hui que par neuf planteurs et quatre
fabricants, un chiffre dérisoire au regard des 400 planteurs de
l'après-guerre. C'est à partir de 1847 que le «Semois» connaît un
essor considérable, lorsque Joseph Pieret, l'instituteur de Alle, ose
le commercialiser hors des Ardennes pour relancer l'économie du pays.
Une idée de génie car le succès ne se fait pas attendre : de 85 ha
cultivés en 1895, on passe à 400 ha en 1910. Il est loin le temps où les
habitants plantaient chacun quelques dizaines de pieds de tabac pour
leur propre usage. Et aujourd'hui ? Pour diverses raisons, il ne reste
plus que 3 hectares cultivés (lire l'encadré ci-dessous). Il
n'empêche : l'herbe à Nicot ardennaise conserve une réputation que l'on
dit mondiale - les effluves du tabac Semois flottent aujourd'hui encore
jusqu'en Afrique et en Asie - et qui tient essentiellement à une
exceptionnelle alchimie entre les quatre éléments de la création. La
terre (de schiste), l'air, l'eau et le soleil, ce «feu» bienfaisant à un
tabac principalement destiné à la pipe. Il y a ici une alternance
étonnante entre l'humidité et le sec. Le matin, les feuilles de tabac
transpirent sous les serpents de brume de la vallée. Mais vers midi, le
temps se lève et les plants bénéficient d'un léger coup de vent ou de
soleil qui les conservent de manière idéale, lance Jean-Paul Couvert,
fabricant de tabac à Corbion. Voilà qui explique pourquoi, parmi les 400
sortes de tabacs qui existent à travers le monde, le Semois est
considéré comme l'un des meilleurs par les fins connaisseurs. COMME LE BON VIN, LE TABAC VIEILLIT BIEN Maurice
Grégoire, bien campé dans son fauteuil, raconte la passion qu'il
nourrit pour le tabac depuis une cinquantaine d'années. A presque 70
ans, l'un des neuf derniers planteurs de la région ne fait que perpétuer
une tradition amorcée en 1887 par son propre grand-père. De la
plantation des graines de tabac au printemps, jusqu'au séchage en
automne, en passant par la récolte en été, toutes ces opérations sont
depuis longtemps devenues des gestes instinctifs pour Maurice Grégoire. Neuf
mois, c'est la période nécessaire pour transformer le dé à coudre de
graines en un hectare de plants de tabac hauts d'un petit mètre. Soit
l'équivalent d'un séchoir traditionnel bien rempli (12.000 plants) de
feuilles séchées, glisse furtivement le planteur. Les « manoques»
(un bouquet d'une trentaine de feuilles) vont lentement brunir et
sécher pendant quatre ans. Une étape importante qui détermine la
qualité, le goût et la saveur de l'herbe à Nicot. Comme pour le vin, qui
est meilleur quand on le laisse vieillir, le tabac se bonifie au fil du
temps. Il y a moyen d'accélérer le processus, comme le font les grandes
fabriques de tabac, mais la saveur s'en fait alors cruellement
ressentir, nous explique Jean-Paul Couvert. Ainsi séchées dans des
conditions optimales, les feuilles sont alors prêtes à être
transforméespar le fabricant, l'autre maillon essentiel de la chaîne de
production. DU PLANTEUR AU FABRICANT, DU SÉCHOIR AU TORRÉFACTEUR Comme
c'est le cas pour Maurice Grégoire, la passion que voue Jean-Paul
Couvert au tabac s'est transmise au fil des générations. Ce fabricant
d'une quarantaine d'années prend visiblement beaucoup de plaisir à
expliquer le processus de fabrication du tabac, tant est manifeste son
souci de ne pas laisser mourir une légende. Cinq planteurs, dont
Maurice Grégoire, lui fournissent quelques 2 tonnes de feuilles de tabac
par an, soit 30 % de la production totale de tabac Semois. Après
avoir réhumidifié les feuilles rendues cassantes par les années de
vieillissement, les manoques sont présentées au hachoir pour y être
coupées. Il existe trois sortes de coupes : fine pour la cigarette,
moyenne ou grosse pour la pipe. Le tabac ayant été réhumidifié, il faut
le sécher à nouveau. C'est le rôle du torréfacteur, un grand cylindre
tournant lentement sur son axe et chauffé par un feu de bois participant
lui aussi pleinement au goût du tabac. Refroidi dans une soufflerie, le
tabac passera ensuite sur des tamis qui le débarrasseront des fines
poussières de tabac. Il est alors prêt pour l'empaquetage. Sur un
ballot de 13 kilos, il «sort» environ 150 paquets de 100 grammes,
vendus au prix de 180 FB a pièce. La réputation du Semois auprès des
vrais amateurs de tabac n'étant plus à faire, la seule publicité semble
provenir du bouche à oreille. Voilà qui explique sans doute pourquoi le
Semois est l'apanage de clients réguliers (principalement de Belgique et
des pays frontaliers) qui viennent, une fois par an, se
réapprovisionner sur les bords de la Semois. Seule ombre au
tableau d'une activité artisanale relativement lucrative (Jean-Paul
Couvert réalise à lui seul près d'1,5 million de bénéfices par an) : les
fausses appellations du Semois, qui représentent près de 70 % de la
production vendue dans les grandes surfaces et même dans les magasins
spécialisés. Cet «ersatz» est principalement fabriqué par des anciennes
firmes de véritable tabac Semois rachetées par des établissements
flamands, dit-on dans la région. Mais il n'y a du Semois que dans le nom
et, par ailleurs, ce tabac ne bénéficie pas du label de qualité Semois.
A bon fumeur... F. M. (St.) Rentabilité dénigrée... La
demande de tabac Semois émane surtout de France, d'où arrivent des
commandes de 2 tonnes par mois alors qu'il n'en sort que 2,1 tonnes par
an chez moi, affirme Jean-Paul Couvert, fabricant de tabac à Corbion,
près de Bouillon. Le ton est donné : la production ne cesse de
diminuer (7 tonnes à l'heure actuelle pour 650 par an au début du
siècle), alors que la demande paraît bien réelle. Le nombre de
fabricants suit la même évolution (4 aujourd'hui pour 80 au début des
années 50) alors que c'est un marché rentable. Comment expliquer, dès
lors, que ce secteur soit paradoxalement déserté ? Surtout quand on sait
que le tabac est une plante qui a l'un des meilleurs rendements, en
termes de prix, par rapport à la surface cultivée. La première
raison invoquée est que la fabrication exige des investissements
relativement importants. Il faut savoir que les quatre machines
utilisées par le fabricant représentent un coût de 40 millions de FB. Il
est donc difficile de s'établir comme fabricant si des prédécesseurs
n'ont pas eux-mêmes ouvert la voie. Mais pas impensable : compte tenu
d'un chiffre d'affaires que l'on peut estimer à quelque 5 millions de
francs par an pour une production limitée à 2 tonnes, et d'une marge
bénéficiaire confortable, le retour sur investissement est plutôt
favorable. Deuxième raison invoquée : les taxes et charges
professionnelles imposées aux fabricants. Sur les 1.800 FB que coûte le
kilo de tabac, l'état en prend près de 1.000 FB. Sur les 800 FB
restants, le planteur, qui est seulement taxé sur le bénéfice, ne reçoit
du fabricant que 206 FB au kilo. Heureusement que la Communauté
européenne aide les planteurs à hauteur de 110 FB au kilo, sinon, les
revenus de la plantation seraient réduits à une peau de chagrin, lance
Jean-Paul Couvert. Sans oublier les analyses de sol et la
désinfection des couches qui vont accueillir les graines de tabac,
gracieusement offertes par l'Institut agricole de Gembloux. Par contre,
même si les fabricants ne reçoivent aucune aide extérieure, leur
situation est autrement plus enviable que celle des planteurs puisque
leur marge bénéficiaire est de l'ordre de 25 % (450 FB au kilo pour
environ 150 FB au planteur), compte tenu des coûts de transformation. Reste
une interrogation : pourquoi ne pas avoir réuni planteurs et fabricants
au sein d'une sorte de coopérative, ce qui aurait singulièrement baissé
les coûts de production ? Ce serait l'idéal : nous travaillerions
moins, partagerions les bénéfices, et les coûts seraient revus à la
baisse. Mais une association demande énormément de confiance..., dit
Jean-Paul Couvert. Le jour viendra peut-êtreoù la survie du Semois
dépendra de ce raisonnement désormais dans l'air du temps. F.M.(St.)
voir la colonne de gauche http://archives.lesoir.be/quand-le-tabac-semois-exhale-des-senteurs-folkloriques-_t-19900707-Z02W19.html
STAGIAIRE; MILUTIN,ROGER
Page 13
Vendredi 9 août 1996
SECTEUR LE TABAC, SEMOIS ! Sur les bords de la rivière ardennaise, neuf planteurs et quatre fabricants survivent Situé
sur les hauteurs de Bouillon, le pays du poète Verlaine domine les
méandres de la Semois, au coeur des Ardennes.Cultivé depuis le 16e
siècle entre Rochehaut et Poupehan, ou entre Bohan et Corbion, le «tabac
Semois»n'y est plus défenduaujourd'hui que par neuf planteurs et quatre
fabricants, un chiffre dérisoire au regard des 400 planteurs de
l'après-guerre. C'est à partir de 1847 que le «Semois» connaît un
essor considérable, lorsque Joseph Pieret, l'instituteur de Alle, ose
le commercialiser hors des Ardennes pour relancer l'économie du pays.
Une idée de génie car le succès ne se fait pas attendre : de 85 ha
cultivés en 1895, on passe à 400 ha en 1910. Il est loin le temps où les
habitants plantaient chacun quelques dizaines de pieds de tabac pour
leur propre usage. Et aujourd'hui ? Pour diverses raisons, il ne reste
plus que 3 hectares cultivés (lire l'encadré ci-dessous). Il
n'empêche : l'herbe à Nicot ardennaise conserve une réputation que l'on
dit mondiale - les effluves du tabac Semois flottent aujourd'hui encore
jusqu'en Afrique et en Asie - et qui tient essentiellement à une
exceptionnelle alchimie entre les quatre éléments de la création. La
terre (de schiste), l'air, l'eau et le soleil, ce «feu» bienfaisant à un
tabac principalement destiné à la pipe. Il y a ici une alternance
étonnante entre l'humidité et le sec. Le matin, les feuilles de tabac
transpirent sous les serpents de brume de la vallée. Mais vers midi, le
temps se lève et les plants bénéficient d'un léger coup de vent ou de
soleil qui les conservent de manière idéale, lance Jean-Paul Couvert,
fabricant de tabac à Corbion. Voilà qui explique pourquoi, parmi les 400
sortes de tabacs qui existent à travers le monde, le Semois est
considéré comme l'un des meilleurs par les fins connaisseurs. COMME LE BON VIN, LE TABAC VIEILLIT BIEN Maurice
Grégoire, bien campé dans son fauteuil, raconte la passion qu'il
nourrit pour le tabac depuis une cinquantaine d'années. A presque 70
ans, l'un des neuf derniers planteurs de la région ne fait que perpétuer
une tradition amorcée en 1887 par son propre grand-père. De la
plantation des graines de tabac au printemps, jusqu'au séchage en
automne, en passant par la récolte en été, toutes ces opérations sont
depuis longtemps devenues des gestes instinctifs pour Maurice Grégoire. Neuf
mois, c'est la période nécessaire pour transformer le dé à coudre de
graines en un hectare de plants de tabac hauts d'un petit mètre. Soit
l'équivalent d'un séchoir traditionnel bien rempli (12.000 plants) de
feuilles séchées, glisse furtivement le planteur. Les « manoques»
(un bouquet d'une trentaine de feuilles) vont lentement brunir et
sécher pendant quatre ans. Une étape importante qui détermine la
qualité, le goût et la saveur de l'herbe à Nicot. Comme pour le vin, qui
est meilleur quand on le laisse vieillir, le tabac se bonifie au fil du
temps. Il y a moyen d'accélérer le processus, comme le font les grandes
fabriques de tabac, mais la saveur s'en fait alors cruellement
ressentir, nous explique Jean-Paul Couvert. Ainsi séchées dans des
conditions optimales, les feuilles sont alors prêtes à être
transforméespar le fabricant, l'autre maillon essentiel de la chaîne de
production. DU PLANTEUR AU FABRICANT, DU SÉCHOIR AU TORRÉFACTEUR Comme
c'est le cas pour Maurice Grégoire, la passion que voue Jean-Paul
Couvert au tabac s'est transmise au fil des générations. Ce fabricant
d'une quarantaine d'années prend visiblement beaucoup de plaisir à
expliquer le processus de fabrication du tabac, tant est manifeste son
souci de ne pas laisser mourir une légende. Cinq planteurs, dont
Maurice Grégoire, lui fournissent quelques 2 tonnes de feuilles de tabac
par an, soit 30 % de la production totale de tabac Semois. Après
avoir réhumidifié les feuilles rendues cassantes par les années de
vieillissement, les manoques sont présentées au hachoir pour y être
coupées. Il existe trois sortes de coupes : fine pour la cigarette,
moyenne ou grosse pour la pipe. Le tabac ayant été réhumidifié, il faut
le sécher à nouveau. C'est le rôle du torréfacteur, un grand cylindre
tournant lentement sur son axe et chauffé par un feu de bois participant
lui aussi pleinement au goût du tabac. Refroidi dans une soufflerie, le
tabac passera ensuite sur des tamis qui le débarrasseront des fines
poussières de tabac. Il est alors prêt pour l'empaquetage. Sur un
ballot de 13 kilos, il «sort» environ 150 paquets de 100 grammes,
vendus au prix de 180 FB a pièce. La réputation du Semois auprès des
vrais amateurs de tabac n'étant plus à faire, la seule publicité semble
provenir du bouche à oreille. Voilà qui explique sans doute pourquoi le
Semois est l'apanage de clients réguliers (principalement de Belgique et
des pays frontaliers) qui viennent, une fois par an, se
réapprovisionner sur les bords de la Semois. Seule ombre au
tableau d'une activité artisanale relativement lucrative (Jean-Paul
Couvert réalise à lui seul près d'1,5 million de bénéfices par an) : les
fausses appellations du Semois, qui représentent près de 70 % de la
production vendue dans les grandes surfaces et même dans les magasins
spécialisés. Cet «ersatz» est principalement fabriqué par des anciennes
firmes de véritable tabac Semois rachetées par des établissements
flamands, dit-on dans la région. Mais il n'y a du Semois que dans le nom
et, par ailleurs, ce tabac ne bénéficie pas du label de qualité Semois.
A bon fumeur... F. M. (St.) Rentabilité dénigrée... La
demande de tabac Semois émane surtout de France, d'où arrivent des
commandes de 2 tonnes par mois alors qu'il n'en sort que 2,1 tonnes par
an chez moi, affirme Jean-Paul Couvert, fabricant de tabac à Corbion,
près de Bouillon. Le ton est donné : la production ne cesse de
diminuer (7 tonnes à l'heure actuelle pour 650 par an au début du
siècle), alors que la demande paraît bien réelle. Le nombre de
fabricants suit la même évolution (4 aujourd'hui pour 80 au début des
années 50) alors que c'est un marché rentable. Comment expliquer, dès
lors, que ce secteur soit paradoxalement déserté ? Surtout quand on sait
que le tabac est une plante qui a l'un des meilleurs rendements, en
termes de prix, par rapport à la surface cultivée. La première
raison invoquée est que la fabrication exige des investissements
relativement importants. Il faut savoir que les quatre machines
utilisées par le fabricant représentent un coût de 40 millions de FB. Il
est donc difficile de s'établir comme fabricant si des prédécesseurs
n'ont pas eux-mêmes ouvert la voie. Mais pas impensable : compte tenu
d'un chiffre d'affaires que l'on peut estimer à quelque 5 millions de
francs par an pour une production limitée à 2 tonnes, et d'une marge
bénéficiaire confortable, le retour sur investissement est plutôt
favorable. Deuxième raison invoquée : les taxes et charges
professionnelles imposées aux fabricants. Sur les 1.800 FB que coûte le
kilo de tabac, l'état en prend près de 1.000 FB. Sur les 800 FB
restants, le planteur, qui est seulement taxé sur le bénéfice, ne reçoit
du fabricant que 206 FB au kilo. Heureusement que la Communauté
européenne aide les planteurs à hauteur de 110 FB au kilo, sinon, les
revenus de la plantation seraient réduits à une peau de chagrin, lance
Jean-Paul Couvert. Sans oublier les analyses de sol et la
désinfection des couches qui vont accueillir les graines de tabac,
gracieusement offertes par l'Institut agricole de Gembloux. Par contre,
même si les fabricants ne reçoivent aucune aide extérieure, leur
situation est autrement plus enviable que celle des planteurs puisque
leur marge bénéficiaire est de l'ordre de 25 % (450 FB au kilo pour
environ 150 FB au planteur), compte tenu des coûts de transformation. Reste
une interrogation : pourquoi ne pas avoir réuni planteurs et fabricants
au sein d'une sorte de coopérative, ce qui aurait singulièrement baissé
les coûts de production ? Ce serait l'idéal : nous travaillerions
moins, partagerions les bénéfices, et les coûts seraient revus à la
baisse. Mais une association demande énormément de confiance..., dit
Jean-Paul Couvert. Le jour viendra peut-êtreoù la survie du Semois
dépendra de ce raisonnement désormais dans l'air du temps. F.M.(St.)
voir la colonne de gauche http://archives.lesoir.be/quand-le-tabac-semois-exhale-des-senteurs-folkloriques-_t-19900707-Z02W19.html
Dernière édition par scytale le Mar 11 Jan - 13:14, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Vieux articles (1990/96) sur le semois
Cet «ersatz» est principalement fabriqué par des anciennes
firmes de véritable tabac Semois rachetées par des établissements
flamands, dit-on dans la région.
Voilà qui devrait apaiser les relations
Invité- Invité
Re: Vieux articles (1990/96) sur le semois
cela ne m'avait pas echappé,j'imaginais notre ami de la louvieres en le lisant
Invité- Invité
Re: Vieux articles (1990/96) sur le semois
Super interressant cet article Scytale, merci. Faut vraiment qu'un jour prochain, je me rende sur place, pour voir, pour discuter avec un V.Manil ou un JP.Couvert qui paraissent en plus très sympathiques et désireux de faire découvrir leurs tabacs et leur savoir-faire.
Ce doit être passionnant pour un afficionado des tabacs de la Semois.
Ce doit être passionnant pour un afficionado des tabacs de la Semois.
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