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Sam 29 Nov - 1:13 par Admin
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Une brève histoire du tabac
Une brève histoire du tabac
Histoire
Fleurs et fruits du tabac
Article détaillé : Histoire de la culture du tabac.
Christophe Colomb, en découvrant l'Amérique en 1492, constate que les Indiens utilisent le tabac pour ses propriétés magiques et médicamenteuses. André Thevet en rapporta des graines et c'est ainsi que le tabac commença sa culture en Europe.
Étymologie
Le mot tabac, désignant à l'origine, pour les européens, à la fois la plante et le cigare confectionné avec ses feuilles, vient de l'espagnol tabaco, lui-même emprunté à un mot arawak désignant une sorte de pipe, un instrument à deux tuyaux. Il est attesté sous sa forme espagnole depuis la première moitié du XVIe siècle. Les Arawak, ensemble de peuplades amérindiennes des Antilles et d'Amazonie, possédaient donc probablement un autre mot pour désigner la plante que nous appelons tabac (digo selon l'archeologue Benoît Bérard) ; ce mot est apparu en espagnol par glissement sémantique, le contenant (pipe, instrument) finissant par désigner le contenu (feuilles séchées de la plante) puis la plante elle-même.
Origine en Amérique centrale
La culture du tabac trouve son origine en Amérique, il y a plus de 500 ans. Lorsque Christophe Colomb rencontre les Amérindiens, ceux-ci pour se soigner roulent des feuilles de tabac jusqu'à obtenir une sorte de grand cigare qu'ils appellent « tabaco »[7]. Dans leur calumet brûle également un mélange de plusieurs herbes dont le tabac.
À la même époque, comme le tabac n'existe pas en Europe, les Romains et les Grecs, qui fumaient la pipe, emploient des feuilles d'autres végétaux tels que le poirier[8]. Divers travaux ont aussi postulé la consommation de nicotine dans l'Égypte antique, mais sans parvenir à une conclusion claire à propos de son origine.
Débuts en Europe
Esclaves travaillant dans un atelier de production de tabac. 1670, Virginie.
En 1492, lors de son expédition en Amérique, Christophe Colomb découvre le tabac[9] et le rapporte en Europe, à la Cour espagnole et portugaise, où il est pendant longtemps utilisé comme simple plante d'ornement. Ce n'est qu'au milieu du XVIe siècle que le médecin personnel de Philippe II d'Espagne commence à le promouvoir comme « médicament universel ». La première description écrite serait le fait de l'historien espagnol d'Oviedo.
Il sera introduit en France en 1556 par un moine cordelier, André Thévet qui au retour de son séjour au Brésil, en fit la culture dans les environs de sa ville natale d'Angoulême. On l'appelle alors « herbe angoulmoisine » ou « herbe pétun ».
Dès 1775, les premiers soupçons de relation entre tabac et cancer sont exprimés[10].
Débuts en France
En 1560, l'ambassadeur de France (François II) au Portugal, Jean Nicot, se basant sur l'effet curatif du tabac des rituels indiens, envoie de la poudre à la Reine Catherine de Médicis afin de traiter les terribles migraines de son fils François II. Le traitement a du succès et le tabac devient ainsi « l'herbe à la Reine ». Sa vente sous forme de poudre est réservée aux apothicaires. Pour honorer Jean Nicot, le duc de Guise proposa d'appeler cette herbe nicotiane. Cette proposition fut retenue par le botaniste Jacques Daléchamps qui dans son livre Histoire générale des plantes[11] au chapitre "Du Petum ou Herbe à la Reine" l'illustre d'une gravure intitulée Nicotiane ou Tabacum, terminologie reprise ensuite par Linné pour créer son binôme[12]. La plante reçut de très nombreux noms parmi lesquels on peut citer « nicotiane », « médicée », « catherinaire », « herbe de Monsieur Le Prieur », « herbe sainte », « herbe à tous les maux », « panacée antarctique » et finalement « herbe à ambassadeur ».
C'est à la fin du XVIe siècle qu'apparaît le mot « tabac » : la première illustration botanique en est donnée par Nicolas Monardes en 1571. En 1575, André Thevet donne un "pourtrait de l'herbe Petum ou Angoulmoisine" dans sa Cosmographie universelle (t II, livre XXI, chap VIII).
À la même époque, est publié un des premiers traités sur le tabac, vu alors comme une plante médicinale : L'instruction sur l'herbe petum (1572) par Jacques Gohory.
Le Cardinal de Richelieu instaure une taxe sur la vente de tabac en 1629[13]. Colbert fit de sa production et de son commerce un monopole royal et à l'époque la production nationale est la plus développée d'Europe, avec des plantations dans l'Est, le Sud-Ouest, ainsi que dans les 4 îles des Antilles les plus peuplées : Saint-Christophe, Martinique, Guadeloupe et Saint-Domingue [14].
Ferme du tabac en 1674
Article détaillé : ferme du tabac.
Jeune plante de tabac
À la demande de Louis XIV, Colbert établit un « Privilège de fabrication et de vente » en 1674, l'année de la création de la Compagnie du Sénégal. Les premières Manufactures des tabacs sont fondées à Morlaix, Dieppe et Paris. Le privilège est d'abord concédé à des particuliers dont le premier est Madame de Maintenon[15] qui le revend, puis à la seule Compagnie des Indes, au moment où celle-ci doit se retirer du commerce du sucre, relevant alors directement du roi et des ports qu'ils souhaitent favoriser.
La culture du tabac devient un monopole et rapidement les gouvernants voient les rentrées d'argent qu'ils peuvent espérer des taxes sur le tabac. Ces taxes augmentent le prix de vente, tandis que la recherche d'un bénéfice rapide dicte un faible prix d'achat aux planteurs, à une époque où les rois souhaitent remplacer la culture du tabac aux Antilles par celle du sucre, beaucoup plus rentable, à l'image de ce qui s'est passé sur l'île de la Barbade britannique. Plus que le monopole, c'est la stratégie de prix de vente et d'achats qui modifie alors en profondeur la production mondiale de tabac.
La contrebande se développe sur les côtes, en particulier sur l'île de Noirmoutier, et le nouveau monopole doit installer des acheteurs dans les ports d'Amsterdam et Liverpool, pour acheter le tabac des Antilles françaises, puis le tabac de Virginie, beaucoup moins cher, auquel les consommateurs prennent goût, et qui prend son essor[14].
XVIIIe siècle
Champ de tabac
Les planteurs de Virginie commencent à importer des esclaves grâce à la Compagnie royale d'Afrique, créée en 1672. En trente ans, les importations françaises font plus que tripler, passant de 20 % à 70 % de la consommation intérieure de tabac. La Virginie représente à elle seule 60 % des importations françaises[14]. En échange, la monarchie anglaise tente d'empêcher les raids de flibustiers anglais sur les îles à sucre françaises. Cette politique subit cependant un coup d'arrêt à la fin du siècle lorsque les taxes sur l'exportation du tabac anglais augmentent de 150 %. En 70 ans, elles quadruplent, mais sans gêner encore la position dominante déjà acquise sur le marché[14]. Le port de Londres, qui a le monopole d'importation depuis 1624, a les moyens de rendre cette filière compétitive.
Dès le milieu du 18e siècle, la Virginie contrôle l'essentiel du marché mondial. L'autre grand producteur est la colonie voisine du Maryland, également soutenue par la dynastie Stuart. Afin de maîtriser les flux, la culture du tabac est prohibée dès 1719 dans toute la France, avec des condamnations qui peuvent aller jusqu'à la peine de mort. Exceptions : la Franche-Comté, la Flandre et l'Alsace. Elle le restera jusqu'en 1791. En 1809, Louis-Nicolas Vauquelin, professeur de chimie de l'École de Médecine de Paris, isole un principe actif azoté des feuilles de tabac. La nicotine, quant à elle, sera identifiée quelques années plus tard. La cigarette est introduite en France vers 1825.
Dernière édition par Davy Jones le Lun 12 Nov - 19:12, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: Une brève histoire du tabac
Source: Colette Vidal, http://www.niichro.com/tabacF/TabF1.html
Historique du tabac
par Colette Vidal
Les origines du tabac
Selon la documentation, le tabac est originaire de l'Amérique centrale et de l'Amérique du Sud. Cette plante, avec plus de 50 variétés, appartient à la famille des solanacées, qui comprend la belladone (toxique), le poivron, la tomate, la pomme de terre, l'aubergine et la ketmie8,9.
Deux variétés de tabac nous intéressent plus particulièrement ici. La première, Nicotiana rustica, ou «vrai tabac», était utilisée par les peuples autochtones d'Amérique bien avant la venue des Européens. Même si elle n'est pas originaire d'Amérique du Nord, elle s'est bien adaptée à son climat. Le tabac commercial, comme celui des cigarettes, est appelé Nicotiana tabacum. D'abord cultivé en Amérique centrale et en Amérique du Sud, on l'a introduit avec succès en Virginie, où il est devenu une culture commerciale importante8. Le vrai tabac, plus doux que celui utilisé dans les produits commerciaux, était généralement considéré comme une plante sacrée par les Indiens d'Amérique du Nord; souvent cultivé à part, son ensemencement et sa récolte s'accompagnaient de rites particuliers. Il était un élément essentiel des rites entourant les nombreuses cérémonies au cours desquelles il était utilisé. Il pouvait être brûlé, jeté sur l'eau, laissé sur le sol ou fumé dans une pipe par une seule personne ou par un groupe de personnes formant un cercle.
L'usage traditionnel du tabac
En Amérique centrale et en Amérique du Sud, où poussait Nicotiana tabacum, un tabac plus fort et aux larges feuilles, le tabac était fumé par les Indiens à l'aide de pipes dont le modèle et la taille pouvaient varier, ou encore sous forme de rouleaux parfois très décorés9. Dans certaines parties de l'Amérique du Sud, le tabac pouvait être mâché ou prisé pour «dégager l'esprit9». On s'en servait aussi comme remède pour soigner de nombreuses affections. Ainsi, les Mayas l'utilisaient contre l'asthme, les piqûres et morsures, les problèmes intestinaux, les refroidisse-ments, la fièvre, les convulsions, les affections nerveuses et urinaires, les douleurs aux yeux et les maladies de la peau (Tierra, p. 56).
Certaines tribus cultivaient le tabac afin de s'en servir comme insecticide contre certaines larves de mouches parasitant la peau (idem). Peu importe son usage, le tabac était présent dans tous les aspects de la vie et constituait un élément essentiel à diverses occasions, comme les semailles et la récolte, les naissances, les mariages et les enterrements, la prière et les grâces rendues aux dieux9.
Chez les Indiens d'Amérique du Nord, les nombreux usages traditionnels du tabac incluaient les accords de paix avec d'autres tribus; la guérison de diverses affections comme les maux d'oreilles (Malécites), sans compter les morsures de serpents (Choctaw), les coupures et les brûlures (Cris); la prévention des éclairs et des orages (Séminoles); les préparatifs visant à s'assurer d'une bonne pêche (Indiens de la Caroline) (PNLAADA, p. 28). Cependant, la fumée de tabac servait avant tout d'offrande aux esprits (Paper, p. 5). À cette fin, le tabac pouvait être fumé dans une pipe ou placé directement sur une flamme. Dans certains cas, il était déposé sur le sol comme offrande à la terre, jeté sur l'eau ou placé sur ou près des roches ou des arbres sacrés (idem). Mais le moyen le plus puissant d'entrer en communication avec les esprits restait la pipe, car la fumée que partageait la personne qui l'offrait et l'esprit qui la recevait permettait d'établir la communication (Schissel, p. 3).
La pipe sacrée
La pipe sacrée était utilisée par presque tous les groupes autochtones d'Amérique du Nord, à l'exception de ceux de l'Arctique, où le tabac a été introduit bien après la venue des Européens.
«L'importance de la pipe dans la vie religieuse et la philosophie de nombreux peuples autochtones d'Amérique du Nord peut se comparer au rôle de la Torah dans le judaïsme et à celui du Coran dans l'islam; c'est le principal moyen de communication entre les puissances spirituelles et les humains.» (Paper, p 13) (traduction).
Les fouilles archéologiques ont permis de trouver de grandes quantités de pipes dans des monticules (lieux de sépulture) remontant à la préhistoire. Ces pipes sont souvent faites d'os, de pierre ou d'argile cuite et présentent une grande variété de formes et de décorations. De plus, les matériaux ayant servi à les fabriquer ne sont pas toujours trouvables dans les environs des fouilles, ce qui porte à croire que des échanges ont eu lieu avec des tribus éloignées des milliers d'années avant l'arrivée des Européens. Selon Paper (p. 98), quels que soient les écarts observés dans l'intégration de la pipe sacrée, le rite entourant celle-ci était et est toujours présent chez tous les Indiens nord-américains vivant au sud de l'Arctique.
Il convient de souligner que, dans certains cas, la pipe était utilisée sans tabac, car les autochtones disposaient de nombreuses espèces différentes de plantes dont les feuilles pouvaient être fumées ou brûlées seules ou mélangées à du tabac. Ces mélanges, appelés kinnikinnicks, pouvaient comprendre des feuilles de cornouiller Cornus sericea (Rutsch, p. 31). Bertha Blondin1 signale que les Dénés, où le tabac a été introduit vers 1930, utilisaient le cornouiller soyeux dans leur pipe mais la fumée n'était pas inhalée.
Le rite de la pipe est rattaché à une philosophie et à un symbolisme religieux que partagent la plupart des Indiens d'Amérique du Nord et qui, contrairement à ce que croyaient les Euro-Américains, remonte à la même époque ou précède la religion dominante des Européens (Paper, p. 97).
Le symbolisme dans la religion autoch-tone
Certains des symboles les plus répandus dans la religion des Indiens d'Amérique du Nord incluent le cercle d'influences, qui symbolise le cercle de la vie ainsi que le lever et le coucher du Soleil. La croix au centre du cercle représente les quatre directions : le nord, le sud, l'est et l'ouest, de même que les quatre saisons de l'année. La pipe sacrée qui, au même titre que la suerie, est un rite pan-indien, possède son propre symbolisme puissant. Les Indiens d'Amérique du Nord attachent une signification particulière aux matériaux utilisés pour fabriquer une pipe, de même qu'à la forme et à la décoration de celle-ci. Par exemple, la pipe au tuyau détachable utilisée le plus couramment lors des cérémonies symbolise le ciel et la terre, la complémentarité de l'homme (tuyau) et de la femme (fourneau). Les deux éléments sont assemblés au début de la cérémonie. Seul le «vrai tabac» cultivé par les Indiens est utilisé dans ces rites. La pipe est passée à chacun des membres du cercle, habituellement dans la direction de la course du Soleil (d'est en ouest), et seulement après que la personne présidant la cérémonie ait fait une offrande de fumée au Créateur, aux quatre directions et à la Terre.
Habituellement, la pipe sacrée est offerte à tous, sauf aux enfants. Les femmes menstruées ne participent pas à l'échange, car pendant ces instants sacrés, leur pouvoir inné supplantera celui de la pipe (Paper, p. 38).
Un des aspects importants des croyances autochtones est que la pipe et le tabac sont des dons du créateur. La légende peut toutefois varier. Selon celle des Pieds-Noirs, le calumet sacré leur a été donné par le chef Tonnerre (Schissel, p 5); selon celle des Sarcee, des graines de tabac leur ont été données par un serpent d'eau qui leur a dit de ne pas les transmettre à d'autres peuples (idem, p. 11). Dans de nombreuses tribus, le tabac et la pipe sacrée jouent un rôle dans l'origine des peuples.
L'appropriation du tabac par les Européens
Si le tabac est un don de l'Île de la Grande Tortue au reste de l'humanité, on peut affirmer que ce don a fait l'objet de tels abus qu'il est devenu une calamité tant pour les autochtones que pour les non-autochtones, détruisant la vie de millions de gens partout dans le monde.
En 1520, les conquistadors espagnols venus au Mexique ont remarqué que l'empereur aztèque Motecuhzoma fumait des rouleaux de tabac ornés de merveilleux dessins et d'or8. Ces rouleaux étaient les premiers ancêtres de nos cigares modernes. Mais avant que ces derniers ne deviennent populaires auprès des Européens, le tabac était considéré comme une panacée et utilisé pour traiter toutes sortes de maladie.
Jean Nicot, nommé ambassadeur de France à Lisbonne (Portugal) en 1560, a joué un rôle particulièrement important dans la venue du tabac à priser sur le marché. Son nom a été immortalisé dans la désignation botanique de Nicotiana et dans la substance active du tabac, la nicotine9.
En Angleterre, le navigateur Walter Raleigh a popularisé l'usage de la pipe, une habitude qui s'est répandue rapidement dans le continent européen au XVIIe siècle. Pendant la même période, le tabac continuait d'être utilisé comme produit à mâcher et à priser.
Le dernier développement ayant permis la généralisation de l'usage du tabac dans le monde a été la production commerciale de la cigarette, dont l'ancêtre était le papelito d'Amérique du Sud. En 1853, Luis Susini, qui avait conçu une machine pouvant fabriquer 3 600 cigarettes à l'heure, a fondé la première usine à cigarettes à Cuba. En 1883, James Bonsack a mis au point une machine produisant 15 000 cigarettes à l'heure. En 1921, la cigarette avait supplanté tous les autres produits du tabac comme bien de production et de consommation de masse. Les cigarettes à bout filtre ont fait leur apparition après la Deuxième Guerre mondiale. Avec l'automation, les machines peuvent maintenant produire 8 000 cigarettes à la minute et les cigarettes à bout filtre sont devenues le produit du tabac le plus populaire dans tous les pays industrialisés9.
Dans ce rapide survol de l'expansion du tabac des Amériques au reste du monde, c'est de Nicotiana tabacum qu'il s'agit, la variété plus forte et à large feuilles autour de laquelle une industrie puissante a été érigée. Ce qui était au départ une plante sacrée, utilisée avec parcimonie et respect, est devenue un produit de vente courant exploité en vue d'en tirer des profits. Le tabac était un gage d'amitié des autochtones à l'égard des Blancs. Ces derniers s'en sont emparés, l'ont modifié et vendu à tous les peuples de la Terre. La dépendance à la nicotine a fait de nombreuses victimes, y compris chez les autochtones. Selon Rutsch6 l'appropriation du tabac par les Européens a été un symbole de la colonisation des Amériques.
Il est urgent de restaurer l'usage du tabac en tant que coutume indienne et de se débarrasser d'une habitude non réglementée et dangereuse.
Ouvrages de référence
1. Blondin, Bertha. «Traditional use of Tobacco Among the Dene». Arctic Medical Research, 49 (suppl. 2) : 51-53, 1990
* PNLAADA, Liz O'bomsawin. The Smoke-free Kit for Native Communities. PNLAADA, Santé et Bien-être social Canada, 1991.
2. NAFC (Association nationale des centres d'amitié, ANCA), Bill Dare. «Sacred Plant, Sacred Ways». NAFC Tobacco 3. Demand Reduction Strategy, NAFC, Ottawa, 1995.
3. * Paper, Jordan. Offering Smoke, The Sacred Pipe and Native American Religion. University of Idaho Press, Moscow, Idaho, 1988.
4. Pendell, Dale. Plant Powers, Poisons and Herbcraft. Mercury House, San Francisco, 1995. 6.* Rutsch, Edward S. 5.Smoking Technology of the Aborigines of the Iroquois Area of New York State. Associated University Presses Inc., Cranberry, New Jersey, 1973.
6. Schissel, Catherine. Traditional Tobacco Use in Plains Indian Societies. Rapport commandé par la Société canadienne du cancer, Alberta, division des T.N.-O., janvier 1994.
7. Tierra, Michael. «Healing Herbs - Tobacco: Native Blessing or Whiteman's Curse». Shaman's Drum, 56-58, été 1986.
8. Voges, Ernst. «Tobacco Encyclopedia» (extrait). Tobacco Journal International, 363-369, sans date.
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Re: Une brève histoire du tabac
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Gonzague- TBfan
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Re: Une brève histoire du tabac
mpm.bandit- TBphile
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