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LE "TASSE-BRAISES V II" du Tasse-braises pour les membres!!!
Sam 29 Nov - 1:13 par Admin
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Black Parrot ou souvenir d'enfance
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Black Parrot ou souvenir d'enfance
Black Parrot ou souvenir d'enfance,
La boîte renvoi aux rêves d'enfance où quand j'étais gamin, je me prenais pour un capitaine d'un bateau pirate. Le balcon de notre maison était mon navire, je m'étais même fabriquer une ancre que je pouvais passer par "dessus bord" et passer à l'abordage. Voler ainsi les galions anglais ou trouver quelque île déserte (mon jardin) et trouver les plus grand et fabuleux trésors cachés.
Décidément, le tabac c'est mon enfance retrouvée!
A l'ouverture de cette invitation au voyage, c'est une drôle d'impression : il y a comme du vinaigre de framboise qui aurait mûri longtemps. Je ferme les yeux et je sens également comme une odeur de sirop du sureau. Ma grand-mère est là, dans sa cuisine et prépare ce sirop. Une odeur lancinante, âcre, un peu écoeurante. Je me réjouis de voir revenir l'hiver pour goûter à ce délicieux breuvage aux premiers toussotements.
Au toucher, il est humide, il renvoi à la paille, à ces bottes du dessus, celles qui n'ont pas eu le temps de sécher. Je joue maintenant avec mes cousins dans la grange. Nous sommes les cow boys, propriétaires d'un range de plusieurs centaines de têtes de bétails. Nous portons des ceinturons. Mais à cause de nos jeux nous revenons à la ferme couverts de cette paille et de son odeur.
Remplissons la pipe, simple et agréable car ce tabac est doux et léger. C'est à vous de choisir le temps que vous allez prendre pour remplir votre pipe.
Il me faudra 3 allumettes pour parvenir chauffer tendrement le tabac (ceci changera peu à peu après plusieurs ouvertures de la boîte). Cet allumage lent rend le tabac un peu acre. Mais je laisse le tabac gonfler et s'aérer. Alors là c'est une saveur de tanin qui envahi ma bouche. Je suis dans un chai à Eauze (dans le Gers), j'ai 16 ans et je fais mon apprentissage de l'Armagnac (Bas Armagnac, haut Armagnac, Ténarèze) et je goûte des Armagnacs de tous âges, plus ils vieillissent plus le tanin est présent. C'est le périque. Ce goût du tanin n'est pas sans rappeler le baril sur la boîte, il n'y a pas de hasard, je ne me suis pas trompé.
A mi-bol, il me faut reprendre une allumette et laisser une nouvelle fois le tabac reprendre sa chaleur de combustion optimale qui me fera découvrir un autre goût : celui du sureau, une nouvelle fois, mais en moins sucré. C'est le virginie. mais aussi un léger piquant comme celui que nous laisse le poivre noir.
La fin est plus puissante et toutes les saveurs se retrouvent un peu plus mélangées et plus complexes à déterminer. Mais c'est le virginie qui adoucit le petit piquant du poivré du périque.
Ma conclusion est que c'est un excellent tabac qui malgré son coté poivré n'agresse pas la langue. Il ne faut pas le fumer trop tôt dans la journée, il vous empêcherait de fumer un tabac plus doux, il altérerait votre goût. Il faut aussi le savourer lentement et le laisser envahir doucement sa fumée dans la pièce sinon au lieu d'une odeur de framboise, il ne laisserait que celle du vinaigre.
Merci de m'avoir lu.
Hasta el humo siempre.
La boîte renvoi aux rêves d'enfance où quand j'étais gamin, je me prenais pour un capitaine d'un bateau pirate. Le balcon de notre maison était mon navire, je m'étais même fabriquer une ancre que je pouvais passer par "dessus bord" et passer à l'abordage. Voler ainsi les galions anglais ou trouver quelque île déserte (mon jardin) et trouver les plus grand et fabuleux trésors cachés.
Décidément, le tabac c'est mon enfance retrouvée!
A l'ouverture de cette invitation au voyage, c'est une drôle d'impression : il y a comme du vinaigre de framboise qui aurait mûri longtemps. Je ferme les yeux et je sens également comme une odeur de sirop du sureau. Ma grand-mère est là, dans sa cuisine et prépare ce sirop. Une odeur lancinante, âcre, un peu écoeurante. Je me réjouis de voir revenir l'hiver pour goûter à ce délicieux breuvage aux premiers toussotements.
Au toucher, il est humide, il renvoi à la paille, à ces bottes du dessus, celles qui n'ont pas eu le temps de sécher. Je joue maintenant avec mes cousins dans la grange. Nous sommes les cow boys, propriétaires d'un range de plusieurs centaines de têtes de bétails. Nous portons des ceinturons. Mais à cause de nos jeux nous revenons à la ferme couverts de cette paille et de son odeur.
Remplissons la pipe, simple et agréable car ce tabac est doux et léger. C'est à vous de choisir le temps que vous allez prendre pour remplir votre pipe.
Il me faudra 3 allumettes pour parvenir chauffer tendrement le tabac (ceci changera peu à peu après plusieurs ouvertures de la boîte). Cet allumage lent rend le tabac un peu acre. Mais je laisse le tabac gonfler et s'aérer. Alors là c'est une saveur de tanin qui envahi ma bouche. Je suis dans un chai à Eauze (dans le Gers), j'ai 16 ans et je fais mon apprentissage de l'Armagnac (Bas Armagnac, haut Armagnac, Ténarèze) et je goûte des Armagnacs de tous âges, plus ils vieillissent plus le tanin est présent. C'est le périque. Ce goût du tanin n'est pas sans rappeler le baril sur la boîte, il n'y a pas de hasard, je ne me suis pas trompé.
A mi-bol, il me faut reprendre une allumette et laisser une nouvelle fois le tabac reprendre sa chaleur de combustion optimale qui me fera découvrir un autre goût : celui du sureau, une nouvelle fois, mais en moins sucré. C'est le virginie. mais aussi un léger piquant comme celui que nous laisse le poivre noir.
La fin est plus puissante et toutes les saveurs se retrouvent un peu plus mélangées et plus complexes à déterminer. Mais c'est le virginie qui adoucit le petit piquant du poivré du périque.
Ma conclusion est que c'est un excellent tabac qui malgré son coté poivré n'agresse pas la langue. Il ne faut pas le fumer trop tôt dans la journée, il vous empêcherait de fumer un tabac plus doux, il altérerait votre goût. Il faut aussi le savourer lentement et le laisser envahir doucement sa fumée dans la pièce sinon au lieu d'une odeur de framboise, il ne laisserait que celle du vinaigre.
Merci de m'avoir lu.
Hasta el humo siempre.
Cheguevara- Nombre de messages : 103
Age : 57
Localisation : Liège
Date d'inscription : 14/01/2014
Re: Black Parrot ou souvenir d'enfance
C'est un de mes tabacs préférés.
Asmascega- TBphile
- Nombre de messages : 1938
Age : 35
Localisation : Breteuil (27; France)
Date d'inscription : 19/09/2012
Re: Black Parrot ou souvenir d'enfance
Bien belle revue Cheguevara..Ta comparaison des goûts/saveurs/senteurs avec tes souvenirs d'enfance est une belle façon de relater les qualités de ce tabac et nous fait vivre ainsi un peu de tes souvenirs d'enfance...C'est très agréable à lire,merci donc
Invité- Invité
Re: Black Parrot ou souvenir d'enfance
Belle prose donne envie pour ceux qui ne le connaissent pas, pour les autres et bien j'en prendrais bien un petit bol.
Vinaigre propre à Mc Clelland.
Vinaigre propre à Mc Clelland.
Gonzague- TBfan
- Nombre de messages : 6300
Age : 69
Localisation : Centre
Date d'inscription : 05/12/2008
Re: Black Parrot ou souvenir d'enfance
Merci c'est très agréable à lire
je valide c'est un excellent VA/PE
je valide c'est un excellent VA/PE
serbru- TBphile
- Nombre de messages : 1217
Age : 70
Localisation : Essonne
Date d'inscription : 13/12/2012
Re: Black Parrot ou souvenir d'enfance
+1 pour le Black Parrot !
Et merci beaucoup pour cette superbe revue Cheguevara !
Et merci beaucoup pour cette superbe revue Cheguevara !
Woopty- TBphile
- Nombre de messages : 1739
Age : 48
Localisation : Moselle
Date d'inscription : 01/06/2010
Re: Black Parrot ou souvenir d'enfance
A lire cette revue, le Black Parrot McLelland (celui-là) est donc différent de l'autre, le McConnell.
Stout- TBphile
- Nombre de messages : 4727
Age : 65
Localisation : Paris
Date d'inscription : 20/09/2012
Re: Black Parrot ou souvenir d'enfance
Jamais goute ce tabac, mais le vanter en racontant une histoire le rend tout de suite interessant. C'est souvent ce genre de souvenirs qui nous fait retourner periodiquement a un bon tabac, une bonne liqueur, un bon resto...
Invité- Invité
Re: Black Parrot ou souvenir d'enfance
Cette très belle revue me donne vraiment envie d'ouvrir la boîte que j'ai...
Invité- Invité
Re: Black Parrot ou souvenir d'enfance
Cette pipée de Black Parrot s'est faite attendre. Tant mieux.
J'ouvre doucement la porte du balcon. La petiote vient de s'endormir. Il fait froid, c'est dommage : je fume plus vite quand il fait froid. Plus vite, c'est toujours trop vite. Tant pis.
Jamais eu d'insomnie. Pas mon truc, les soucis et les angoisses nocturnes. Même, j'envie un peu les insomniaques depuis que j'ai lu Cioran. Il faut que je prenne ma revanche.
La Moretti est prête depuis l'après-midi. Bourrage facile...
J'ai déménagé au 4ème étage. Je vois tous les toits. Aucune lumière sinon les lampadaires, le distributeur de fric et les étoiles. A Paris je ne voyais ni les toits ni les étoiles, mais il y avait toujours des fenêtres allumées. Dans mon ancien appartement d'un quartier plus humble de Toulouse aussi. Là, non. Je suis seul à regarder les maisons qui dorment.
La Moretti est belle. C'est celle de jimhar. Je respecte son passé avec le Black Parrot, c'est un Virginia/Perique, comme jimhar aime.
Quelques vélos titubant passent. Puis une fille, visiblement anorexique. Elle se retient à chaque portail pour reprendre son souffle, elle a peut-être bu aussi. En tout cas ses jambes rachitiques tremblent.
J'allume et profite du bon goût des premières fumées du tabac. Même sentiment que Roark pour le St James : tous les détails de fragrances et de goûts ne parviennent pas à détrôner la puissance de l'évocation du simple mot : tabac.
L'anorexique a disparu. Quelques voitures et bruits de voix nord-africaines. Je fume trop vite, je le savais. J'ai peur d'être coupé dans ma dégustation par les pleurs de la bambine, ce qui n'arrange rien. Le tabac ne pique pas cependant, la pipe ne chauffe pas mais elle a de l'épaisseur de foyer, ça ne veut rien dire. De belles notes épicées de cannelle, de noix de muscade prennent de l'ampleur.
Un type bizarre marche à vitesse d'escargot. Il va vers le distributeur. Une proie aisée, une potentielle victime facile sans témoin sinon moi. Pas étonnant que Merah se soit planqué dans le coin : personne pour témoigner de quoi que ce soit la nuit tombée. Et nous sommes vendredi soir, les travailleurs sont supposés faire les cons cette nuit : c'est dire si l'endroit est calme. Le mec bizarre prend son fric et se barre, probablement pour aller régler son ardoise, chez les péripatéticiennes ou dans un quelconque bar. Peut-être les deux.
Fruits sucrés. Dates, figues. C'est un tabac que je me verrais bien prendre en fin de repas avec un alcool fort de derrière les fagots. C'est Arthur qui parlait d'utiliser le Saint James comme dessert à un bon repas, ou quelque chose comme ça.
Ça me rappelle ce vieux Corse, seul homme parmi sa femme et ses filles. Il piquait un roupillon quand sa progéniture débarrassait la table et préparait le café, uniquement cinq minutes de temps, cinq minutes suffisantes pour péter la forme le reste de la journée. Peut-être, quand la vieillesse m'atteindra, mes deux filles auront cette délicatesse, et m'apporteront en plus du café un Virginia/Perique comme ce Black Parrot avec un petit verre de vieux rhum. Le vieux Corse est peut-être bien mort maintenant. J'aimerais le revoir sinon.
Il y a bien des phases, par tiers ou pas peu importe, qui se succèdent le long du fumage. Tout se corse (le vocabulaire se moque-t-il de moi ?), et des fragrances, du même type que celles qui font la particularité des vins maturés en fût de chêne, font leur apparition pour aller crescendo jusqu'à la fin.
La fin, d'ailleurs, arrive vite. Zut, le fond du bol est un peu trop chaud. Je n'ai pas rallumé ma pipe, qui a duré 40 minutes. Ça n'est pas énorme, mais ça va.
Le tabac est l'un des meilleurs que j'ai pu goûter. Il faudra que je refasse le test des autres Virginia/Perique classiques.
Longtemps je me souviendrai de ce moment délectable.
J'ouvre doucement la porte du balcon. La petiote vient de s'endormir. Il fait froid, c'est dommage : je fume plus vite quand il fait froid. Plus vite, c'est toujours trop vite. Tant pis.
Jamais eu d'insomnie. Pas mon truc, les soucis et les angoisses nocturnes. Même, j'envie un peu les insomniaques depuis que j'ai lu Cioran. Il faut que je prenne ma revanche.
La Moretti est prête depuis l'après-midi. Bourrage facile...
J'ai déménagé au 4ème étage. Je vois tous les toits. Aucune lumière sinon les lampadaires, le distributeur de fric et les étoiles. A Paris je ne voyais ni les toits ni les étoiles, mais il y avait toujours des fenêtres allumées. Dans mon ancien appartement d'un quartier plus humble de Toulouse aussi. Là, non. Je suis seul à regarder les maisons qui dorment.
La Moretti est belle. C'est celle de jimhar. Je respecte son passé avec le Black Parrot, c'est un Virginia/Perique, comme jimhar aime.
Quelques vélos titubant passent. Puis une fille, visiblement anorexique. Elle se retient à chaque portail pour reprendre son souffle, elle a peut-être bu aussi. En tout cas ses jambes rachitiques tremblent.
J'allume et profite du bon goût des premières fumées du tabac. Même sentiment que Roark pour le St James : tous les détails de fragrances et de goûts ne parviennent pas à détrôner la puissance de l'évocation du simple mot : tabac.
L'anorexique a disparu. Quelques voitures et bruits de voix nord-africaines. Je fume trop vite, je le savais. J'ai peur d'être coupé dans ma dégustation par les pleurs de la bambine, ce qui n'arrange rien. Le tabac ne pique pas cependant, la pipe ne chauffe pas mais elle a de l'épaisseur de foyer, ça ne veut rien dire. De belles notes épicées de cannelle, de noix de muscade prennent de l'ampleur.
Un type bizarre marche à vitesse d'escargot. Il va vers le distributeur. Une proie aisée, une potentielle victime facile sans témoin sinon moi. Pas étonnant que Merah se soit planqué dans le coin : personne pour témoigner de quoi que ce soit la nuit tombée. Et nous sommes vendredi soir, les travailleurs sont supposés faire les cons cette nuit : c'est dire si l'endroit est calme. Le mec bizarre prend son fric et se barre, probablement pour aller régler son ardoise, chez les péripatéticiennes ou dans un quelconque bar. Peut-être les deux.
Fruits sucrés. Dates, figues. C'est un tabac que je me verrais bien prendre en fin de repas avec un alcool fort de derrière les fagots. C'est Arthur qui parlait d'utiliser le Saint James comme dessert à un bon repas, ou quelque chose comme ça.
Ça me rappelle ce vieux Corse, seul homme parmi sa femme et ses filles. Il piquait un roupillon quand sa progéniture débarrassait la table et préparait le café, uniquement cinq minutes de temps, cinq minutes suffisantes pour péter la forme le reste de la journée. Peut-être, quand la vieillesse m'atteindra, mes deux filles auront cette délicatesse, et m'apporteront en plus du café un Virginia/Perique comme ce Black Parrot avec un petit verre de vieux rhum. Le vieux Corse est peut-être bien mort maintenant. J'aimerais le revoir sinon.
Il y a bien des phases, par tiers ou pas peu importe, qui se succèdent le long du fumage. Tout se corse (le vocabulaire se moque-t-il de moi ?), et des fragrances, du même type que celles qui font la particularité des vins maturés en fût de chêne, font leur apparition pour aller crescendo jusqu'à la fin.
La fin, d'ailleurs, arrive vite. Zut, le fond du bol est un peu trop chaud. Je n'ai pas rallumé ma pipe, qui a duré 40 minutes. Ça n'est pas énorme, mais ça va.
Le tabac est l'un des meilleurs que j'ai pu goûter. Il faudra que je refasse le test des autres Virginia/Perique classiques.
Longtemps je me souviendrai de ce moment délectable.
Évariste- TBphile
- Nombre de messages : 3204
Age : 37
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 21/01/2012
Re: Black Parrot ou souvenir d'enfance
Eh ben. Bien beau texte, Evariste.
Asmascega- TBphile
- Nombre de messages : 1938
Age : 35
Localisation : Breteuil (27; France)
Date d'inscription : 19/09/2012
Re: Black Parrot ou souvenir d'enfance
Beau texte pour bonne bouffarde!
M'etonne pas que Simenon fumait la pipe...
M'etonne pas que Simenon fumait la pipe...
Invité- Invité
Re: Black Parrot ou souvenir d'enfance
Moralité : si la nuit vers trois heures du matin vous passez sous le balcon d'Évariste faire preuve de tenue et de retenue !
Black Parrot : oui, il est vraiment bon, plus rond en bouche que le Saint-James; en tout cas, parmi ceux que j'ai goûté, ces deux-là ont ma préférence, tout en jouant une partition légèrement différente.
Vieillesse/vaisselle/café, tabac et liqueur : je devrais me dépêcher de "faire" des filles (combien pour un bon service ?)
Black Parrot : oui, il est vraiment bon, plus rond en bouche que le Saint-James; en tout cas, parmi ceux que j'ai goûté, ces deux-là ont ma préférence, tout en jouant une partition légèrement différente.
Vieillesse/vaisselle/café, tabac et liqueur : je devrais me dépêcher de "faire" des filles (combien pour un bon service ?)
Stout- TBphile
- Nombre de messages : 4727
Age : 65
Localisation : Paris
Date d'inscription : 20/09/2012
Re: Black Parrot ou souvenir d'enfance
'ci
@stout : au pair, 250€ par mois peut suffire selon le pays de production
@stout : au pair, 250€ par mois peut suffire selon le pays de production
Évariste- TBphile
- Nombre de messages : 3204
Age : 37
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 21/01/2012
Re: Black Parrot ou souvenir d'enfance
Longtemps je me souviendrai de ce moment délectable....
et moi aussi pour cette lecture,belle revue,comme le début d'un roman qui s'achève trop tôt.
Un régal,merci Evariste
et moi aussi pour cette lecture,belle revue,comme le début d'un roman qui s'achève trop tôt.
Un régal,merci Evariste
Invité- Invité
Re: Black Parrot ou souvenir d'enfance
Très belle revue. Un très beau style. J'ai cru lire la quatrième de couverture d'un roman de Dashiell Hammet. Merci pour ce moment.
Cheguevara- Nombre de messages : 103
Age : 57
Localisation : Liège
Date d'inscription : 14/01/2014
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