un restaurant fumeur a paris

Rop a écrit:Bon on y va quand les p'tits gars ?

Rop

Rop a écrit:Bon on y va quand les p'tits gars ?

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Cyl a écrit:L'article débute par:

«La scène paraît tellement surréaliste que l’on se demande si l’on n’a pas emprunté une machine à remonter le temps.»

Y'a des journalistes qu'ont les références qui ne remontent pas loin dans le passé...

Cyl a écrit:S'habituer, c'est accepter et cautionner.

Chris a écrit:

Cyl a écrit:S'habituer, c'est accepter et cautionner.

'S'habituer c'est accepter....' je suis d'accord.
Dire que c'est cautionner je le suis moins. Ne peut-on pas accepter sans cautionner ?
Ainsi, par exemple, dans le cas qui nous préoccupe, de fait, l'acceptation n'est-elle pas tout simplement l'obéissance à une loi ? J'accepte car je suis un 'bon citoyen', mais je ne cautionne pas pour autant.
Peut-être faudrait-il alors faire une distinction entre l'acceptation au sens moral et l'acceptation au sens pratique:
Au sens pratique, je respecte la loi et j'accepte de ne plus fumer dans les lieu public.
Au sens moral, alors même que j'accepte de respecter la loi, je ne cautionne pas du tout celle-ci

vaste sujet

Le pari était ambitieux.Mais quelques mois auront suffi à réduire les rêves d’Alain Dollinger en cendres. En mars dernier, ce chef lance le premier « vrai » restaurant fumeurs à Paris. A deux pas de Pigalle, au 23, rue de Clauzel, le Charlain propose à ses clients de fumer dans sa cave voûtée. Pour contourner la législation antitabac, le restaurateur a muni son sous-sol d’un extracteur de fumée et d’un purificateur d'air...

«J’ai perdu tout ce que j’avais gagné en vingt-quatre ans de travail », avoue Alain Dollinger. Soit 250 000 € d’investissement, dont 60 000 € pour la rénovation de la cave. En cause : une fréquentation largement insuffisante. « On avait à peine une dizaine de tables réservées par mois dans le fumoir, explique Alain Dollinger. Les fumeurs comme les non-fumeurs ne voulaient pas croire que l’extracteur absorbait les odeurs. » Cet été, constatant que la pancarte « fumoir » fait fuir, le restaurateur l’enlève. Mais les multiples contrôles de la police portent le coup de grâce. « Pendant un mois et demi, j’ai dû fermer la cave, en attendant l’accord de la préfecture », précise Alain Dollinger....

Chris a écrit:Je sais pas si le mieux ne serait pas un endroit style club privé comme en Angleterre. Basé sur le vente première d'alcool et non pas la restauration qui implique des coûts de fonctionnement bien plus élevé.

Il me semble que le gars qui monte un club comme cela s'il dispose d'une bonne cave à cigares et de bons alcools, il devrait pouvoir s'en sortir...

Extrait de l'article R.3511-3 du code de la santé publique : "Les emplacements réservés (fumoirs) sont des salles affectées à la consommation de tabac"
Définition de "affecté" dans le Petit Larousse : destiné à un usage déterminé.

Extrait de la circulaire du ministre de la santé publiée au JO du 5 décembre 2006 : "Ces emplacements seront affectés à la seule consommation de tabac"