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Sam 29 Nov - 1:13 par Admin
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D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
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D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
Bonjour a tous,
Pardonnez moi de polluer le web international avec ma question idiote, mais je me demandais d'ou venais les modestes pipes estampillées "bruyère véritable" ou encore "st claude" sans indication sur la maison pipière, ou carrément lorsqu'il n'y a rien estampillé du tout? (Hormis les vieilles estates illisibles, où les eventuelles opérations de "tuning" d'un amateur aventureux)
Est-ce que les fabricant de ses petites merveilles ont tellement honte de leur produit? Sont elles fabriquées dans des ateliers clandestins?
Trêve de blagues, c'est une question qui me taraude sévèrement dans mon univers de pipeux néophyte.
Pardonnez moi de polluer le web international avec ma question idiote, mais je me demandais d'ou venais les modestes pipes estampillées "bruyère véritable" ou encore "st claude" sans indication sur la maison pipière, ou carrément lorsqu'il n'y a rien estampillé du tout? (Hormis les vieilles estates illisibles, où les eventuelles opérations de "tuning" d'un amateur aventureux)
Est-ce que les fabricant de ses petites merveilles ont tellement honte de leur produit? Sont elles fabriquées dans des ateliers clandestins?
Trêve de blagues, c'est une question qui me taraude sévèrement dans mon univers de pipeux néophyte.
Dernière édition par Bourru le Ven 15 Avr - 0:08, édité 1 fois
Bourru- Nombre de messages : 41
Age : 43
Localisation : var / porte des Maures
Date d'inscription : 16/02/2011
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
Gaël pourrait sans doute répondre. Sont-ce des pipes de grandes séries ? Probablement. J'en possède de très vieilles, tout-à-fait excellentes.
barbapipe- TBphile
- Nombre de messages : 2883
Age : 73
Localisation : Belgique
Date d'inscription : 03/01/2011
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
sans compter les "pipes souvenir" : j'en ai trouvé une dimanche dernier dans un vide grenier. Une bruyère estampillée "Lourdes" gravée d'une "magnifique" reproduction de la basilique. Je ne sais pas si elle a été trempée dans l'eau de la source . En tout cas, il n'y a aucune indication du fabricant.
Je l'ai bien nettoyée mais je n'ai pas encore osé la fumer....
Je l'ai bien nettoyée mais je n'ai pas encore osé la fumer....
François- TBjunior
- Nombre de messages : 161
Age : 68
Localisation : Aire sur l'Adour (Landes)
Date d'inscription : 13/03/2011
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
Oh mais essaie, François... va savoir, p't-être que c'est une pipe miraculeuse; p't-être que à la seule vue du briquet, elle se remplit d'un merveilleux dix cors brame Imagine, une pipe qui se remplit éternellement d'un bon semois sans connaître les fluctuations des prix... j'en rêve. Vérifie et si c'est ce que je subodore, je suis prêt à te faire une offre.François a écrit:sans compter les "pipes souvenir" : j'en ai trouvé une dimanche dernier dans un vide grenier. Une bruyère estampillée "Lourdes" gravée d'une "magnifique" reproduction de la basilique. Je ne sais pas si elle a été trempée dans l'eau de la source . En tout cas, il n'y a aucune indication du fabricant.
Je l'ai bien nettoyée mais je n'ai pas encore osé la fumer....
Oui-oui je sors, mais arrête de taper, ça fait mal!
François- TBjunior
- Nombre de messages : 161
Age : 68
Localisation : Aire sur l'Adour (Landes)
Date d'inscription : 13/03/2011
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
Bein elle est bonne celle-là.......un truc dans le genre???
[img:ba79]https://le-tasse-braises.variousforum.com/[/img]
[img:ba79]https://le-tasse-braises.variousforum.com/[/img]
Le grand papy fabriquait ces pipes par wagons . Il était plus spécialiste de fume-cigarette et avait acheté l'usine Lançon où il faisait aussi des pipes pour Myon.
Si ça vous dis, j'ai toutes les formes encore en stock............
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Le grand papy fabriquait ces pipes par wagons . Il était plus spécialiste de fume-cigarette et avait acheté l'usine Lançon où il faisait aussi des pipes pour Myon.
Si ça vous dis, j'ai toutes les formes encore en stock............
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
Je l'ai bien nettoyée mais je n'ai pas encore osé la fumer....
L'émotion chrétienne sans doute?
Imagine, une pipe qui se remplit éternellement d'un bon semois sans connaître les fluctuations des prix...
Est-ce a dire que c'est si variable que ça? Il me semble que c'est encore un tabac relativement bon marché (et très, très bonne qualité), mais ça m'intéresserait de savoir!
Pour répondre à ta question, Bourru, bien sûr les Sanclaudiens t'en diront plus et mieux, mais il faut savoir que dans l'histoire de la pipe (surtout le passage de la pipe "normale" à la pipe de luxe), les deux révolutions qui ont fait la pipe moderne, à savoir premièrement l'apparition des grandes maison, plus ou moins prestigieuses (Dunhill par exemple), et deuzio l'invention du pipier vedette nous ont peut être (il faudrait que je me renseigne mieux là dessus) oublier qu'au départ la pipe anonyme (type "Bruyère garantie" par exemple) n'était sans doute pas si mal perçue.
Après, pour aujourd'hui cela doit être essentiellement des résidus de production des grands ateliers moyenne ou basse gamme.
Je pose ça mais je dois dire que j'attends aussi une réponse plus détaillée des "spécialistes". Je peux demander peut être à Pipephil aussi, vu le nombre de marques qu'il a étudié il doit bien avoir une idée de l'évolution de ces pipes...
maldoror- TBphile
- Nombre de messages : 1199
Age : 33
Localisation : Strasbourg
Date d'inscription : 01/04/2010
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
gael, c'est exactement ça !
Je ne sais pas si on trouvait ces pipes dans les boutiques de Lourdes. C'est quand même curieux cette idée de pipe souvenir de Lourdes ?! Maintenant, il font plutôt dans la "bondieuserie" style vierge en plastoque à remplir d'eau de Lourdes : sur la cheminée, ça doit être du meilleur effet. Enfin bon, je vais pas critiquer, je ne suis qu'un mécréant !
Je ne sais pas si on trouvait ces pipes dans les boutiques de Lourdes. C'est quand même curieux cette idée de pipe souvenir de Lourdes ?! Maintenant, il font plutôt dans la "bondieuserie" style vierge en plastoque à remplir d'eau de Lourdes : sur la cheminée, ça doit être du meilleur effet. Enfin bon, je vais pas critiquer, je ne suis qu'un mécréant !
François- TBjunior
- Nombre de messages : 161
Age : 68
Localisation : Aire sur l'Adour (Landes)
Date d'inscription : 13/03/2011
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
@ Gael
On peut avoir plus de renseignements sur ces "pipes miraculeuses"... prix, taille...???
J'en ajouterais bien une à ma petite collection...
Merci et belles bouffardes à tous,
Vincent
On peut avoir plus de renseignements sur ces "pipes miraculeuses"... prix, taille...???
J'en ajouterais bien une à ma petite collection...
Merci et belles bouffardes à tous,
Vincent
Invité- Invité
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
C'était p'tet des pipes pour fumer de l'encens
Woopty- TBphile
- Nombre de messages : 1739
Age : 48
Localisation : Moselle
Date d'inscription : 01/06/2010
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
Après, pour aujourd'hui cela doit être essentiellement des résidus de production des grands ateliers moyenne ou basse gamme.
Oui mais alors, pourquoi ne pas apposer le nom de la marque dessus? puisque marque = qualité (au moins dans l'imaginaire collectif)
J'ai 2 "bruyères véritables" plus "quelques no-names" avec un petit point de mastic et qui fument pas mal, qui n'ont rien à envier au bas de gamme des grandes marques...
J'en ajouterais bien une à ma petite collection...
Pour un gars de Croix, c'est péché de s'en passer
Bourru- Nombre de messages : 41
Age : 43
Localisation : var / porte des Maures
Date d'inscription : 16/02/2011
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
gael a écrit:Bein elle est bonne celle-là.......un truc dans le genre???
[img:f623]https://le-tasse-braises.variousforum.com/[/img]
[img:f623]https://le-tasse-braises.variousforum.com/[/img]
Le grand papy fabriquait ces pipes par wagons . Il était plus spécialiste de fume-cigarette et avait acheté l'usine Lançon où il faisait aussi des pipes pour Myon.
Si ça vous dis, j'ai toutes les formes encore en stock............
Gael, l'homme aux ressources inestimables...et qui a plus d'un atout dans ses manches!
Invité- Invité
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
Oui mais alors, pourquoi ne pas apposer le nom de la marque dessus?
puisque marque = qualité (au moins dans l'imaginaire collectif)
J'ai
2 "bruyères véritables" plus "quelques no-names" avec un petit point de
mastic et qui fument pas mal, qui n'ont rien à envier au bas de gamme
des grandes marques...
Parce qu'elles ne satisfont pas les normes que la marque s'impose.
Au niveau du fumage, ça sera peut être du même niveau que tu indique, mais peut être avec les mastics c'est déclassé?
Peut être aussi que ce sont des pipes de vieux stocks..?
maldoror- TBphile
- Nombre de messages : 1199
Age : 33
Localisation : Strasbourg
Date d'inscription : 01/04/2010
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
Il y a plusieurs raisons justifiant le non marquage de pipes.
Tout d'abord, la production de pipes était fortement disséminée à Saint Claude et un même modèle était couramment distribué par plusieurs marques, voire par des distributeurs indépendants. L'apposition de la marque était alors réalisée par la marque ou le distributeur (par exemple Lamboley, la Seita ou d'autres). Nombre de ces pipes étaient distribuées sans marques ce qui n'empêche pas qu'elles puissent être de qualité.
Cette réserve au distributeur est également couramment pratiquée par les marques et certaines pipes sigillées "Grand Café", "Hotel du Cheval Blanc" "Le Celtique" . . . sortent tout droit de chez BC, Piazzolla ou Chacom par exemple. L'établissement en question n'apposera pas systématiquement sa marque.
Un certain nombre de pipes des gammes standard sont vendues sans marque pour alimenter les prix d'appel des tabacs, les marquer risquerait de déprécier les pipes "de marque". Dans le panier, il y en a statistiquement une petite proportion de "belles".
Parfois c'est le montage qui fait la différence, un tuyau de moindre qualité, l'absence de bague . . .
Tout d'abord, la production de pipes était fortement disséminée à Saint Claude et un même modèle était couramment distribué par plusieurs marques, voire par des distributeurs indépendants. L'apposition de la marque était alors réalisée par la marque ou le distributeur (par exemple Lamboley, la Seita ou d'autres). Nombre de ces pipes étaient distribuées sans marques ce qui n'empêche pas qu'elles puissent être de qualité.
Cette réserve au distributeur est également couramment pratiquée par les marques et certaines pipes sigillées "Grand Café", "Hotel du Cheval Blanc" "Le Celtique" . . . sortent tout droit de chez BC, Piazzolla ou Chacom par exemple. L'établissement en question n'apposera pas systématiquement sa marque.
Un certain nombre de pipes des gammes standard sont vendues sans marque pour alimenter les prix d'appel des tabacs, les marquer risquerait de déprécier les pipes "de marque". Dans le panier, il y en a statistiquement une petite proportion de "belles".
Parfois c'est le montage qui fait la différence, un tuyau de moindre qualité, l'absence de bague . . .
mpm.bandit- TBphile
- Nombre de messages : 3685
Age : 65
Localisation : Ile de France
Date d'inscription : 12/02/2010
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
La taille est dans les normes......140 de long, 43 en ht et un foyer de 19*35. C'était les pipes de la saint Mastic..... avec des tuyaux en plastique. Forcément, le prix....bein....pas grand chose.
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
On a compris, c’était des pipes génériques un peu comme les stylos à bille (bic pour les Belges) sur lesquels toute officine pouvait faire marquer son nom, son adresse et numéro de téléphone.
J’ose espérer que l’image de la pipe que se fait le TB est quand même plus haute que ca, sinon il va falloir lui remonter les bretelles !
J’ose espérer que l’image de la pipe que se fait le TB est quand même plus haute que ca, sinon il va falloir lui remonter les bretelles !
Invité- Invité
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
J'ai un profond respect pour tous ceux qui ont travaillé dans les usines de pipe à St Claude.....comme dans tous les métiers qui donnent à des villes une image de savoir-faire.
Ici, c'est de souvenir dont il s'agit.......!
Ici, c'est de souvenir dont il s'agit.......!
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
J'ai un profond respect pour tous ceux qui ont travaillé dans les usines de pipe à St Claude.....
Ah ben moi aussi, ça leur a donné du taf et tant mieux pour eux, mais je n’aspire pas du tout à collectionner ce genre de pipes de boutiques de souvenirs, maintenant chacun fait ce qu’il veut, l’avenir est seul juge si la stratégie était bonne ou pas.
Il est quand même curieux de constater que ceux qui s’attachaient à faire de la pipe de qualité tout en maintenant un certain niveau sont toujours là malgré ce j’appellerait la crise du tabac, tandis que les autres ne sont plus là depuis des lustres… !
Invité- Invité
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
Dans tout produit de "consommation", le distributeur est doté d'un bras de levier énorme sur le fabricant : il désire présenter des produits dans telle et telle gammes de prix, soit le producteur lui en propose, soit il achète ailleurs. Jeter la première pierre est un peu facile, la dernière est toujours plus lourde qui recouvre le cercueil . . .
Si l'on ne veut pas accélérer le déclin de cette industrie et voir arriver les pipes chinoises en masse, il faut accepter de voir ces no names que nous n'achèterions pas ou plus.
Personnellement je préfère les voir sans marque que porteuses de marques dont elles déprécient la réputation. Je n'ai jamais eu de problème avec BC parce que je n'achète que des BC bien finies et avec des beaux bois, si BC bazardait ses riblons en no name, sa réputation s'en trouverait considérablement améliorée.
Je fais cependant le distingo entre les no names et les pipes de boutiques de souvenir. Dernièrement j'y ai vu des objets en forme de pipe, vernissés voire peinturlurés qui , au vu du veinage du bois visible par transparence sous la peinture noire dont "s'ornait" le foyer, n'étaient certe pas en bruyère. D'où qu'ils viennent ces objets "décoratifs" ne présentent aucune des caractéristiques propres à permettre d'y fumer le moindre brin de tabac et je pense qu'ils devraient purement et simplement être interdits à la vente. Sur un carton gisant dans l'arrière boutique d'un de ces commerces, l'applicatif de mon iphone a pu traduire la dénomination "pipe décorative - Accessoires de déguisement" ! ! !
Si l'on ne veut pas accélérer le déclin de cette industrie et voir arriver les pipes chinoises en masse, il faut accepter de voir ces no names que nous n'achèterions pas ou plus.
Personnellement je préfère les voir sans marque que porteuses de marques dont elles déprécient la réputation. Je n'ai jamais eu de problème avec BC parce que je n'achète que des BC bien finies et avec des beaux bois, si BC bazardait ses riblons en no name, sa réputation s'en trouverait considérablement améliorée.
Je fais cependant le distingo entre les no names et les pipes de boutiques de souvenir. Dernièrement j'y ai vu des objets en forme de pipe, vernissés voire peinturlurés qui , au vu du veinage du bois visible par transparence sous la peinture noire dont "s'ornait" le foyer, n'étaient certe pas en bruyère. D'où qu'ils viennent ces objets "décoratifs" ne présentent aucune des caractéristiques propres à permettre d'y fumer le moindre brin de tabac et je pense qu'ils devraient purement et simplement être interdits à la vente. Sur un carton gisant dans l'arrière boutique d'un de ces commerces, l'applicatif de mon iphone a pu traduire la dénomination "pipe décorative - Accessoires de déguisement" ! ! !
mpm.bandit- TBphile
- Nombre de messages : 3685
Age : 65
Localisation : Ile de France
Date d'inscription : 12/02/2010
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
Il est quand même curieux de constater que ceux qui s’attachaient à
faire de la pipe de qualité tout en maintenant un certain niveau sont
toujours là malgré ce j’appellerait la crise du tabac, tandis que les
autres ne sont plus là depuis des lustres… !
Ben justement je trouve ça plus logique.
Vu qu'avec le rabâchage qu'on nous tintouinne dans les oreilles fumer équivaut à mourir de façon très lente et douloureuse en étant impuissant, défiguré par les divers cancers etc... je pense que le fumeur qui s'y met hésite moins à investir dans un bel objet: tant qu'à en mourir autant le faire bien n'est-ce pas? Bon c'est un peu psychologicosimpliste, mais ça pourrait être un élément de réponse.
maldoror- TBphile
- Nombre de messages : 1199
Age : 33
Localisation : Strasbourg
Date d'inscription : 01/04/2010
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
Qui peut donner les chiffres des ventes des "marquées" et "non marquées"?
Anton- TBbuddy
- Nombre de messages : 479
Age : 79
Localisation : Belgique (Liège)
Date d'inscription : 11/01/2011
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
En gros, tout est fait à st claude, c'est de la marque de distributeur comme dans les supermarchés, les usines sont les mêmes, seul les chaines diffèrent.
Il y a peut être aussi un peu de sous-traitance.
Mais alors, dans le détail, qui fait quoi? Tout le monde? Lacroix no-name?
Il y a peut être aussi un peu de sous-traitance.
Mais alors, dans le détail, qui fait quoi? Tout le monde? Lacroix no-name?
Bourru- Nombre de messages : 41
Age : 43
Localisation : var / porte des Maures
Date d'inscription : 16/02/2011
Dites, on a le droit de filer des baffes . . . juste quelques unes . . .
Bourru a écrit:En gros, tout est fait à st claude, c'est de la marque de distributeur comme dans les supermarchés,les usines sont les mêmes, seul les chaines diffèrent.
Il y a peut être aussi un peu de sous-traitance.
Mais alors, dans le détail, qui fait quoi? Tout le monde? Lacroix no-name?
Pétard de bois mort, allez faire un tour à Saint Claude et de grâce, arrêtez de raconter foutaises et bilvesées ! ! !
A Saint Claude il y avait des fabriques, il en reste 2 à ce jour, visitables de surcroît, et des ateliers, une "usine" à été construite puis désaffectée pratiquement aussitôt, elle n'est plus en service aujourd'hui. Aucune chaîne ne fabrique de pipe française. A ce jour, en dehors de l'atelier de David Enrique, Je suis passé par tous les ateliers français encore en activité plus quelques uns ayant fermé depuis ma visite il y a 15 ans, je n'ai visité ni fabrique, ni atelier, ni usine à l'étranger mais je peux affirmer n'avoir jamais vu, en France, d'usine ressemblant de près ou de loin, aux photographies de celle de Stanwell.
Nombre de gens, fermiers, ouvriers, artisans, avaient chez eux une ou deux machines et réalisaient à façon têtes de pipes, rustiquage, polissage . . . Il n'était pas rare qu'ils formassent également branches ou cerclages de lunettes, pièces de tabletterie voire objets de boissellerie . . . Ils travaillaient le plus souvent à façon, souvent pour plusieurs marques, mais également pour leur propre compte quand ils avaient l'opportunité de se procurer des ébauchons à bon compte
A Saint Claude il y avait des fabriques, il en reste 2 à ce jour, visitables de surcroît, et des ateliers, une "usine" à été construite puis désaffectée pratiquement aussitôt, elle n'est plus en service aujourd'hui. Aucune chaîne ne fabrique de pipe française. A ce jour, en dehors de l'atelier de David Enrique, Je suis passé par tous les ateliers français encore en activité plus quelques uns ayant fermé depuis ma visite il y a 15 ans, je n'ai visité ni fabrique, ni atelier, ni usine à l'étranger mais je peux affirmer n'avoir jamais vu, en France, d'usine ressemblant de près ou de loin, aux photographies de celle de Stanwell.
Nombre de gens, fermiers, ouvriers, artisans, avaient chez eux une ou deux machines et réalisaient à façon têtes de pipes, rustiquage, polissage . . . Il n'était pas rare qu'ils formassent également branches ou cerclages de lunettes, pièces de tabletterie voire objets de boissellerie . . . Ils travaillaient le plus souvent à façon, souvent pour plusieurs marques, mais également pour leur propre compte quand ils avaient l'opportunité de se procurer des ébauchons à bon compte
mpm.bandit- TBphile
- Nombre de messages : 3685
Age : 65
Localisation : Ile de France
Date d'inscription : 12/02/2010
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
T'as beau crier, Bandit, je ne comprends rien!
Anton- TBbuddy
- Nombre de messages : 479
Age : 79
Localisation : Belgique (Liège)
Date d'inscription : 11/01/2011
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
+1 avec anton.
Ceci dit, je trouve que quand bandit crie, ca va bien avec son nouvel avatar !
On se croirait chez Scott McCloud (la bible de la BD) !
Ceci dit, je trouve que quand bandit crie, ca va bien avec son nouvel avatar !
On se croirait chez Scott McCloud (la bible de la BD) !
Fred- TBfan
- Nombre de messages : 5633
Age : 48
Localisation : Hainaut Occidental
Date d'inscription : 21/01/2010
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
@ mpm.bandit
Je raconte les foutaise que j'ai cru bien synthétiser dans le capharnaüm de la première page.
C'est peu être évident pour toi, mais j'ai du mal à saisir la nuance que tu fait entre "fabrique" et "atelier".
Je n'ai visité ni st claude, ni l'atelier de david enriqué ni ceux de stanwell. Peut être ne suis-je pas le seul à ne pas trop saisir tes références élitistes.
ok, donc si j'ai bien compris de nombreuses pipes ont étées (ou sont encore?) réalisées par des gens dont ce n'est pas la vocation principale, aux quatre coins de france, en sous traitance des grandes marques. Les pipes étaient ébauchées quelque part, polies ou rustiquées ailleurs, estampillées encore ailleurs. De la grande distribution sans âme, en somme.
M'enfin, ça reste pas bien clair tout ça. Sacro-sainte langue de bruyère...
Je raconte les foutaise que j'ai cru bien synthétiser dans le capharnaüm de la première page.
C'est peu être évident pour toi, mais j'ai du mal à saisir la nuance que tu fait entre "fabrique" et "atelier".
Je n'ai visité ni st claude, ni l'atelier de david enriqué ni ceux de stanwell. Peut être ne suis-je pas le seul à ne pas trop saisir tes références élitistes.
Nombre de
gens, fermiers, ouvriers, artisans...
ok, donc si j'ai bien compris de nombreuses pipes ont étées (ou sont encore?) réalisées par des gens dont ce n'est pas la vocation principale, aux quatre coins de france, en sous traitance des grandes marques. Les pipes étaient ébauchées quelque part, polies ou rustiquées ailleurs, estampillées encore ailleurs. De la grande distribution sans âme, en somme.
M'enfin, ça reste pas bien clair tout ça. Sacro-sainte langue de bruyère...
Bourru- Nombre de messages : 41
Age : 43
Localisation : var / porte des Maures
Date d'inscription : 16/02/2011
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
C'est vrai qu'on frise là l'image d'Epinal du brave fermier en sabot-maillot de corps, capette vissée sur le crâne, bacchantes épaisses, assis sur un souche dans la cour de sa ferme et se sculptant une bouffarde dans une branche ramassée au verger, au son des vaches meuglant dans l'étable...
Fred- TBfan
- Nombre de messages : 5633
Age : 48
Localisation : Hainaut Occidental
Date d'inscription : 21/01/2010
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
et d'la mere qui l'appelle pour la soupe!Fred a écrit:C'est vrai qu'on frise là l'image d'Epinal du brave fermier en sabot-maillot de corps, capette vissée sur le crâne, bacchantes épaisses, assis sur un souche dans la cour de sa ferme et se sculptant une bouffarde dans une branche ramassée au verger, au son des vaches meuglant dans l'étable...
YVES- TBphile
- Nombre de messages : 1330
Age : 77
Localisation : pays de france
Date d'inscription : 19/11/2009
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
"gens, fermiers, ouvriers, artisans"
Voici trois exemples :
CLIQUER : FERME, ATELIER DE PIPIER
L'atelier d'Olivier Racine à Etables :
CLIQUER ICI
15 personnes environ travaillaient dans cette usine
en louant leur place dans les années 1910 :
CLIQUER : LA ROUE DU LIZON
Voici trois exemples :
CLIQUER : FERME, ATELIER DE PIPIER
L'atelier d'Olivier Racine à Etables :
CLIQUER ICI
15 personnes environ travaillaient dans cette usine
en louant leur place dans les années 1910 :
CLIQUER : LA ROUE DU LIZON
Dernière édition par Jip le Sam 7 Mai - 0:38, édité 3 fois
Invité- Invité
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
Anton a écrit:T'as beau crier, Bandit, je ne comprends rien!
@mpm.bandit
Moi non plus. Le propos, c'est quoi ? Tu veux nous montrer ou nous prouver quoi ?
Cela dit, c'était en effet une particularité du Jura que les agriculteurs y complètent leurs revenus avec un métier manuel qui pouvait être exercé à la ferme à la mauvaise saison, pendant laquelle ils travaillaient peu à l'extérieur (mauvaise saison plus longue en montagne, où les déplacements étaient gênés ou empêchés par la neige). Parmi ces métiers : l'horlogerie (raison pour laquelle une école d'horlogerie avait été créée à Besançon), la lunetterie (idem pour une école d'optique à Morez) et les menus travaux du bois : tournerie, boissellerie, tabletterie, fabrication de pipes.
Un peu comme aujourd'hui en Haute-Savoie, où l'on est souvent maçon, charpentier ou électricien l'été et moniteur de ski l'hiver.
C'était une réalité économique qui pesait encore d'un poids non négligeable, à l'échelon régional du moins, à la fin des années 1960.
Dernière édition par Oumpah-Pah le Ven 15 Avr - 19:32, édité 1 fois
Oumpah-Pah- TBbuddy
- Nombre de messages : 854
Age : 76
Localisation : Orne
Date d'inscription : 19/10/2010
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
Je suis passé par tous les ateliers français encore en activité plus quelques uns ayant fermé depuis ma visite il y a 15 ans, je n'ai visité ni fabrique, ni atelier, ni usine à l'étranger mais je peux affirmer n'avoir jamais vu, en France, d'usine ressemblant de près ou de loin, aux photographies de celle de Stanwell.
On va remettre sur le tapis ce vieux sujet pourri ?
Tu n’as pas vu le robot de duplication de chez Stanwell soit, mais tu as vu ca :
http://monjura.actifforum.com/t35-la-fabrication-d-une-pipe-de-saint-claude-39
Voir surtout la video du varlopage. Si tu regardes bien, le principe de fonctionnement de l’automate de duplication est déjà là, cette machine n’est rien d’autre que le précurseur de l’automate ! Elle ne fut pas développée d’avantage puisque le niveau de production (nombre de pipes produites par jour) ne le nécessite pas.
Mais bon quand on ne veut pas voir les choses on ne les verra pas (ce fameux déni de réalité dont je parlais l’autre jour et qui risque bien de faire parler de lui)
Au moment de l’invention de la roue, elle ne fut pas munie d’un ABS ni d’une belle jante en alu, elle fut en bois, ca n’en fait pas moins d’elle une roue…
Invité- Invité
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
Qui peut donner les chiffres des ventes des "marquées" et "non marquées"?
Bonne question, les non marquées c’est surtout une époque, révolue actuellement. Difficile de dire combien, mais certainement une infime partie.
A ma connaissance ca ne se fait plus, bien que je possède une Lacroix non marquée. Je n’ai jamais compris pourquoi elle ne fut pas marquée, une pipe d’un niveau de finition tout à fait correct, mais bon.
Invité- Invité
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
Bourru a écrit:@ mpm.bandit
Je raconte les foutaise que j'ai cru bien synthétiser dans le capharnaüm de la première page.
C'est peu être évident pour toi, mais j'ai du mal à saisir la nuance que tu fait entre "fabrique" et "atelier".
Je n'ai visité ni st claude, ni l'atelier de david enriqué ni ceux de stanwell. Peut être ne suis-je pas le seul à ne pas trop saisir tes références élitistes.Nombre de
gens, fermiers, ouvriers, artisans...
ok, donc si j'ai bien compris de nombreuses pipes ont étées (ou sont encore?) réalisées par des gens dont ce n'est pas la vocation principale, aux quatre coins de france, en sous traitance des grandes marques. Les pipes étaient ébauchées quelque part, polies ou rustiquées ailleurs, estampillées encore ailleurs. De la grande distribution sans âme, en somme.
M'enfin, ça reste pas bien clair tout ça. Sacro-sainte langue de bruyère...
Il n'y a aucune référence élitiste dans mes propos, simplement le désir de partager une vérité . . .
Je n'ai pas connaissance de personnes exerçant encore à ce jour un des métiers de la pipe en complément d'activité, cumul courant autrefois. Suivez les liens fournis par Jip, ces fermiers pipiers produisaient des pipes à façons mais aussi des pipes sans nom parmi lesquelle certaines "belles".
La pipe, c'était l'esprit, l'âme de la vallée, tout se passait en confiance, à proximité, en aucun cas aux quatre coins de France par contre chacun avait sa spécialité et travaillait le plus souvent pour plusieurs marques simultanément : quelques paniers d'une marque, un ou deux de quelques autres plus celles réalisées avec des ébauchons reçus, pour la plupart en paiement et fréquemment vendues sans nom . . . Ebaucheurs, polisseuses, rustiqueurs, monteurs, sableurs, sans parler de ceux qui fabriquaient les zigouigouis, les bagues, les tuyaux, les machines, métiers multiples et tellement différents venant souvent en complément de l'activité principale . . . On travaillait tard, le soir, et pas seulement dans les fermes pour quelques sous, mais chacun travaillait avec fierté, en aucun cas il n'est possible de comparer l'état d'esprit de cette population fière et dure au labeur avec "de la grande distribution sans âme". Gardez-vous bien de mépriser l'imagerie d'Épinal, elle n'a été exclusivement que l'écho de la vie des populations et de leurs spécificités. Images un peu lissées et édulcorées soit, mais fallait-il que les difficultés matérielles accompagnant ce besoin de travaux complémentaires soient mises en place publique alors qu'elles viennent aisément à l'esprit ? ? ?
Vouloir comprendre l'histoire de la pipe en France sans faire un minimum d'ethnologie est une gageure, la production d'une population aussi resserrée ne peut être dissociée de l'histoire et des modes de vie de cette population.
Quant-au lien refourni, une nouvelle fois, par Arthur, il montre bien ce que j'ai vu, et vous invite à voir, des machines monotaches de production, réglables sur une grande plage d'utilisations et permettant, après réglage de répéter à l'identique une opération unique sur de grandes séries mais en aucun cas, telles les machines de stanwell, de réaliser automatiquement les diverses opérations de fabrications enchaînées de manière automatisée. (Evidemment, le fardier de Cugnot est sans nul doute automobile et traction avant mais s'il vous prenait la lubie de l'utiliser en remplacement de votre Peugeot, vous risqueriez fort, à l'instar de Cugnot, de finir dans le mur . . .)
Je n'ai pas connaissance de personnes exerçant encore à ce jour un des métiers de la pipe en complément d'activité, cumul courant autrefois. Suivez les liens fournis par Jip, ces fermiers pipiers produisaient des pipes à façons mais aussi des pipes sans nom parmi lesquelle certaines "belles".
La pipe, c'était l'esprit, l'âme de la vallée, tout se passait en confiance, à proximité, en aucun cas aux quatre coins de France par contre chacun avait sa spécialité et travaillait le plus souvent pour plusieurs marques simultanément : quelques paniers d'une marque, un ou deux de quelques autres plus celles réalisées avec des ébauchons reçus, pour la plupart en paiement et fréquemment vendues sans nom . . . Ebaucheurs, polisseuses, rustiqueurs, monteurs, sableurs, sans parler de ceux qui fabriquaient les zigouigouis, les bagues, les tuyaux, les machines, métiers multiples et tellement différents venant souvent en complément de l'activité principale . . . On travaillait tard, le soir, et pas seulement dans les fermes pour quelques sous, mais chacun travaillait avec fierté, en aucun cas il n'est possible de comparer l'état d'esprit de cette population fière et dure au labeur avec "de la grande distribution sans âme". Gardez-vous bien de mépriser l'imagerie d'Épinal, elle n'a été exclusivement que l'écho de la vie des populations et de leurs spécificités. Images un peu lissées et édulcorées soit, mais fallait-il que les difficultés matérielles accompagnant ce besoin de travaux complémentaires soient mises en place publique alors qu'elles viennent aisément à l'esprit ? ? ?
Vouloir comprendre l'histoire de la pipe en France sans faire un minimum d'ethnologie est une gageure, la production d'une population aussi resserrée ne peut être dissociée de l'histoire et des modes de vie de cette population.
Quant-au lien refourni, une nouvelle fois, par Arthur, il montre bien ce que j'ai vu, et vous invite à voir, des machines monotaches de production, réglables sur une grande plage d'utilisations et permettant, après réglage de répéter à l'identique une opération unique sur de grandes séries mais en aucun cas, telles les machines de stanwell, de réaliser automatiquement les diverses opérations de fabrications enchaînées de manière automatisée. (Evidemment, le fardier de Cugnot est sans nul doute automobile et traction avant mais s'il vous prenait la lubie de l'utiliser en remplacement de votre Peugeot, vous risqueriez fort, à l'instar de Cugnot, de finir dans le mur . . .)
mpm.bandit- TBphile
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Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
[quote="Arthur"]
je possède une Lacroix non marquée. Je n’ai jamais compris pourquoi elle ne fut pas marquée, une pipe d’un niveau de finition tout à fait correct, mais bon.
Le marquage d'une pipe est la dernière opération réalisée sur une pipe après montage et finition. Une pipe est marquée au moment de son envoi vers le lieu de vente, si une pipe de marque n'est pas marquée c'est qu'elle n'est pas passée par le circuit normal de distribution . . .
mpm.bandit- TBphile
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Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
Très intéressant, Oumpah-Pah, ce que tu racontes à propos de ces artisans de la mauvaise saison. Cela me fait penser à ces métiers exercés aussi occasionnellement dans ma région auparavant, comme les sabotiers, cordonniers, forgerons ...
Anton- TBbuddy
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Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
Le marquage d'une pipe est la dernière opération réalisée sur une pipe après montage et finition. Une pipe est marquée au moment de son envoi vers le lieu de vente, si une pipe de marque n'est pas marquée c'est qu'elle n'est pas passée par le circuit normal de distribution . . .
D’accord, d’accord, un autre circuit de distribution mais à quoi bon, dans quel but ?
Vous me connaissez, comprendre avant tout, en bien ou en mal
Invité- Invité
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
Bah t'as pas idée ? ? ?
Du genre sorti par la porte d'accès au personnel, une petite auto-prime non déclarée en quelque sorte . . .
Du genre sorti par la porte d'accès au personnel, une petite auto-prime non déclarée en quelque sorte . . .
mpm.bandit- TBphile
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Date d'inscription : 12/02/2010
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
Puisque la géographie humaine du Jura ancien t'intéresse : une autre particularité notable , qui n'a rien à voir avec la pipe, de cette région, tenait (avant la mécanisation de l'agriculture, la diminution du nombre des exploitants, l'expansion du transport routier, a fortiori avant la mondialisation) aux solidarités villageoises nées de la fabrication du fromage. Car il faut énormément de lait pour produire les meules de comté, plus que n'en pouvait produire le cheptel de la plupart des éleveurs. Aussi ces derniers se sont-ils associés très tôt, dans cette région, pour créer des laiteries à caractère plus ou moins coopératif, les "fruitières".Anton a écrit:Très intéressant, Oumpah-Pah, ce que tu racontes à propos de ces artisans de la mauvaise saison. Cela me fait penser à ces métiers exercés aussi occasionnellement dans ma région auparavant, comme les sabotiers, cordonniers, forgerons ...
Mais là, on est HS, il va falloir passer à la buvette...
Oumpah-Pah- TBbuddy
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Age : 76
Localisation : Orne
Date d'inscription : 19/10/2010
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
Des fois le hs est plus intéressant que je sujet lui même...
Merci en tout cas pour les réponses fort instructives de certains
Merci en tout cas pour les réponses fort instructives de certains
Bourru- Nombre de messages : 41
Age : 43
Localisation : var / porte des Maures
Date d'inscription : 16/02/2011
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
c'est quoi tout ce gras?
(c'est bizarre, même mon message est en gras... )
(c'est bizarre, même mon message est en gras... )
Dernière édition par twisel le Dim 17 Avr - 1:53, édité 1 fois
twisel- TBfan
- Nombre de messages : 5942
Age : 44
Localisation : strasbourg
Date d'inscription : 17/02/2010
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
C'est pour mieux nous entendre mon enfant!
oups...
oups...
Bourru- Nombre de messages : 41
Age : 43
Localisation : var / porte des Maures
Date d'inscription : 16/02/2011
Re: D'où viennent nos "bruyères véritables" et autres no-names
Bon, je vois mon banditBah t'as pas idée ? ? ?
Du genre sorti par la porte d'accès au personnel, une petite auto-prime non déclarée en quelque sorte . . .
Invité- Invité
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