Test tabac du mois de novembre/décembre 2011

GD, MP

va pour le SEMOIS cordemoy : je trouve que les bruns s'accomodent bien de la saison hivernale qui approche

Tu peux arrêter les votes le Semois gagne!

Les votes s'arrêteront d'eux-même à minuit

Bébert Président !

Ferai un sacré président moi

Mouarf !!!!

On a gagné!!! Ce sera le Cordemoy!!

Savais bien que le Semoy gagnerait !
Allez, la revue, la revue, vas y Bebert, on te soutient jusqu'au bout de l'effort

Et bien voilà, le Semois JP.Couvert Cordemoy en coupe fine a été choisi, par 39 % des 58 votants, comme tabac a tester, je vais donc m'y coller .

Si parmi vous certains veulent se joindre à moi pour cette revue, je me ferai un plaisir de vous adresser un échantillon de ce tabac, il vous suffit de me le faire savoir en MP.

Dans le courant du mois de novembre je vous soumettrai à nouveau quatre tabacs pour le test du mois de décembre.

Merci à tous pour votre participation et bonne journée.

bebert

Bien que j'ai choisi un autre tabac, il me tarde de lire cette revue !

bebert a écrit:

Si parmi vous certains veulent se joindre à moi pour cette revue, je me ferai un plaisir de vous adresser un échantillon de ce tabac, il vous suffit de me le faire savoir en MP.

bebert

Oh! même pas en Mp,j'ai tout oublié msieur,je sais plus ce que c'est
dit msieur je peut gouter?

Question sans importance (simple curiosité): pourquoi avoir choisi une coupe fine qui n'est pas une coupe pour la pipe plutôt qu'une coupe moyenne ou grosse.?

Coupe fine, d'abord parce que j'en fûme même si c'est moins évident et adapté à la pipe.

En fait, après reflexion, je me propose, pour ce tabac, le JP.Couvert Cordemoy, de réaliser le test des trois coupes dont je dispose à savoir la fine, la moyenne et la très grosse n°9, comme cela nous aurons une comparaison, à mon sens intérrêssante, du même tabac avec 3 coupes différentes et de l'influence de ces coupes sur les saveurs et/ou senteurs du dit tabac.

Voili, voilou

Excellente idée Bebert..merci...pour sur qu'il y aura différence,à mon
avis,peut-être pas sur la senteur mais plutôt sur la saveur?

Certainement

Evidemment tu fume les trois tabacs avec la même pipe,en veillant a ce que l'hygrometrie et la tempêrature soient semblables,en buvant la même chose et assis dans le même fauteuil

Et en lisant le même livre

Disons les mêmes chapîtres des mêmes livres, car d'un chapître à l'autre, cela peut modifier le comportement du fumeur (et peut-être même de la pipe qui est un être vivant à part entière, si, si !...) !

On reconnaît bien là le perfectionnisme et de dévouement sans borne de Maître Bebert ! Merci Bebert !

scytale a écrit:Evidemment tu fume les trois tabacs avec la même pipe,en veillant a ce que l'hygrometrie et la tempêrature soient semblables,en buvant la même chose et assis dans le même fauteuil

Toujours avec la femme même ?

Pour ne pas influencer le tabac, ni la pipe, ni le fumeur dans ses sensations et appréciations, le seul breuvage indiqué est... l'eau plate ! Pauvre Bebert !

même pas mort !!!!!!

Attention à la noyade ! Trop d'eau... tu sais nager, au moins ? Mais si ta pipe s'enflamme, tu peux espérer éteindre l'incendie, alors qu'avec un single malt ou un vieux rhum ...! (Pourtant le vieux rhum va bien au semois, comme le pastis va bien au gris, enfin ce sont mes sensations personnelles.)

Bah je suis désolé mais ça ne voudra pas dire grand chose...

Les tabacs sont coupés avant torréfaction donc est-ce la coupe qui va vraiment influer sur le goût ou plutôt la torréfaction? Je dirais les deux en fait, du coup difficile de comparer avec uniquement les coupes.

Désolé pour le retard les gars, un emploi du temps fort chargé a ralenti quelque peu la réalisation de mes revues.

Bon je poste celles-ci ce week-end, du coup je vais, dans un nouveau post, vous proposer les quatre tabacs du prochain test, et ce non pas pour le mois de décembre mais pour janvier.

A ce week-end pour les résultats des tests

Merci de cette initiative BBert, c'est CoOol!

My pleasure

Tiens BBert, tu préfères le Larry's Blend ou l'Ashton AB? Si tu devais choisir hein ? (je sais que les compositions sont différentes)

bebert a écrit: même pas mort !!!!!!

Ouais mais «tous les méchants sont buveurs d'eau; c'est prouvé par le déluge» — Louis-Philippe Ségur

Je vous serai reconnaissant de ne pas déstabiliser Bébert,ce test est
très important pour les fumeurs de Semois,aussi je propose de rajouter
un soupçon de coco dans son eau.

Avis aux amateurs.

Les reviews seront postées en cours d'après-midi

A tout à l'heure

Et voilà :

TEST SEMOIS JP.COUVERT CORDEMOY

En préambule quelques précisions sur la préparation des tabacs et le mode opératoire des tests.

Les tabacs ont été aérés et séchés avant fumage, je suis un adepte de la méthode Calabash quant au taux d’hygrométrie des Semois, bien secs ils donnent, à mon sens, le meilleur d’eux même.

J’ai utilisé pour ces tests les deux PDG 2011 de Pierre (en finitions rustiquées et légèrement raccourcies) et la Oom Paul Lacroix rustiquée que Gaël a réalisé sur mesure à ma demande.

Chaque coupe du Cordemoy a été fumée dans les trois pipes, à des heures et des jours différents.

Place aux tests, qui sont une synthèse de chacun des trois fumages dans les trois pipes. Je rajoute à la fin des trois compte-rendu, et avant la conclusion, la revue du Cordemoy du 12 juillet 2011 qui présente l’intérêt d’avoir été réalisée dans une écume :

CORDEMOY COUPE FINE :

A cru le tabac sent très bon la terre et le sous bois, avec de belles notes herbeuses et en retrait quelques notes animales (cuir, écurie) matinées de fugaces apparitions d’amande sèche, praline et de chocolat noir.

Dès l’allumage les notes animales (écurie, étable et cuir) se bousculent avec des notes empyreumatiques (feu de bois, pain brûlé), non décelées à cru mais pourtant bien présentes. De très fugaces, notes d’humus et de chocolat noir viennent soutenir, très en arrière plan, l’ensemble.

La combustion, qui pourrait paraitre évidente en raison de la coupe très fine du tabac, est plutôt chaotique et demande un entretien bien dosé, car la surchauffe, en cas de tirage rapide, n’est jamais bien loin.

En cours de premier tiers le tabac tapisse déjà le palais, le pain grillé, le feu de bois et le café torréfié composent le bouquet olfactif, en terme de gouts une certaine amertume, pour être plus précis une saveur douce-amère, prédomine.

A l’orée du second tiers le sous-bois et l’humus prennent le dessus malgré que les senteurs/saveurs de pain grillé soient toujours présentes (en retrait mais comme en embuscade, prêtes à bondir à la première occasion), soutenus par quelques pointes de fève de cacao discrètes.

En fin de second tiers les épices, poivres gris et piment, font une belle apparition. Les saveurs/senteurs empyreumatiques (pain grillé, feu de bois, café (et fève de cacao) torréfié prennent largement le dessus, reléguant la terre, le sous bois et l’humus très en arrière plan.

Le troisième tiers est très « viril » âmes, et palais sensibles, s’abstenir !! Une énorme dose de vitamine N est délivrée, la fin de bol est rassasiante. Pas d’évolution notable, après la fin du second tiers, sur le plan des saveurs/senteurs.

Cette coupe m’a semblé plus à son aise, et plus confortable pour le fumeur que je suis, dans le plus petit foyer des trois pipes dans lesquelles il a été fumé. En effet la forme « pot » du foyer de la Morel apple PDG 2011 évite la concentration rencontrée dans le second tiers des deux autres pipes, mais surtout de la Oom Paul Lacroix au foyer profond (très difficile d’aller au fond en fait dans cette pipe avec ce tabac en coupe fine).

Le Palais reste longtemps imprégné, agréablement, de saveurs torréfiées.
La room-note est typique des Semois, épicée et herbeuse, très aromatique et gourmande, tout au moins pour l’amoureux inconditionnel des Semois que je suis.

CORDEMOY COUPE MOYENNE :
A cru le tabac est incomparablement identifiable entre tous, senteurs de terre, d’humus, d’herbe fraichement coupée et de foins mûrs composent majoritairement le bouquet. Quelques pointes subtiles de fruits secs (amande et noisette) et de poivre (le vert, plus fruité) viennent compléter l’ensemble.

Au premier tiers la terre humide, le sous bois et humus sont soutenues par de fugaces pointes d’épice (poivres, piment d’Espelette, cardamone) et de notes animales (très lointaines et en retrait)

Le deuxième tiers est d’emblée plus gourmand et opulent, les notes terreuses et épicées se font plus présentes, soutenues par de belles pointes empyreumatiques (brioche au beurre toastée, pain grillé), la fumée est olfactivement très agréable, sucrée et épicée, une belle présence également d’odeurs de campagne (foins, herbe fraîche et étable). La fumée est généreuse.

Au troisième tiers le café torréfié et la brioche prennent le dessus (de belles sensations pâtissières oserais je dire même) , les notes forestières, campagnardes et animales sont encore là mais en retrait.

Sur la toute fin du bol la terre humide et le suint seuls subsistent.
L’ensemble du troisième tiers est particulièrement gourmand et rassasiant.

Le tabac fut agréable à fumer dans les trois pipes (sa coupe intermédiaire peut-être), très homogène et d’une combustion aisée, il fait montre d’une belle évolution gustative et olfactive.

A noter une magnifique senteur d’ambiance résiduelle (après que les fumées se soient dissipées), très, très gourmande, qui invite expressément à remettre « le couvert » !!!!

CORDEMOY TRES GROSSE COUPE N°9 :

A cru je vous avoue avoir été quelque peu déconcerté, en effet je ne retrouve pas complètement ces senteurs si particulières des Semois, juste une partie, à savoir le sous-bois, une trace, très ténue, d’humus.
Où donc sont passés les foins mûrs, l’herbe fraichement coupée, les cuirs et les épices ????????

En revanche une maigre senteur « aigrelette » est présente, elle s’estompe avec l’aération du tabac, pour être très honnête j’ai l’impression de mettre mon nez dans du Fleur de Poupehan, JP.Couvert nous aurait t’il mis par erreur du Werwick dans son Cordemoy ?

Bon après ces constatations troublantes à cru, attention cela ne sent pas mauvais tout de même, je suis passé au fumage dans les trois pipes.

L’allumage me rassure immédiatement, il est simple et la combustion est d’emblée très confortable, un beau volume de fumée bien odorante, là je retrouve très clairement la typicité du Semois , belles sensations de sous-bois, d’humus et de feu de bois efficacement soutenues par les foins frais, quelques pointes de vieux cuir tanné et de poivre. Strictement aucune trace de cette fragrance aigrelette perçue à cru.

La fumée est réellement très opulente, grasse, et tapisse agréablement les muqueuses, tant buccales que nasales, la rétro-olfaction est veloutée et joliment composée de notes épicées et de notes empyreumatiques à la fois très gourmandes et très « forestières », poivre vert, brioche toastée, pain grillé, et feu de bois.

Le premier tiers s’est passé sans force excessive, avec une belle palette de saveurs/senteurs, très équilibré.

A l’entrée du second tiers le tabac s’est fait progressivement plus terreux et plus cuiré , la force est d’avantage présente. Au cœur de ce deuxième tiers le fumage est marqué par de très belles notes animales (écurie, cuir tanné), de non moins présentes notes de sous-bois et d’humus et en arrière garde de très jolies pointes mi pâtissières, mi empyreumatiques (étonnant non ?) composées de brioche au beurre toastée et de notes torréfiées (moka).

La room note est particulièrement enjôleuse et agréable, douce et épicée.

Le troisième tiers ne déçoit pas, bien au contraire !!!! Un véritable feu d’artifice sensitif, toutes les saveurs/senteurs présentes au cour des premiers et seconds tiers se relaient, se complètent et s’organisent de façon très pertinente et harmonieuse, un pur délice.

La fin de bol est le règne des notes animales, suint, écurie, et vieux cuirs sont à la fête, à la langue pourtant une saveur sucrée est nettement perceptible.

C’est à regret que j’ai du me résoudre à abandonner, par trois fois, les cendres de mon fond de bol !! Cette coupe, je ne le pensais pas à priori, c’est parfaitement adaptée aux trois pipes et à leurs fourneaux de tailles différentes.

TEST CORDEMOY coupe moyenne du 12 juillet 2011.

Dans BC Gourd Calabash,

Le tabac a été sorti, de la réserve, aéré et émietté une demi-heure avant bourrage. La texture est souple, le tabac est à point.

A cru ses arômes sont suaves, composés d’une magnifique harmonie de terre, d’humus, de foins mûrs et odorants gorgés de soleil, une pointe d’amande verte et de cardamone.

Bourrage simple, mise en route facile, un tabac franc et honnête, les premières senteurs sont réellement conformes à celles perçues à cru.

Les sensations gustatives sont douces et dominées par la terre humide, l’herbe fraiche et les épices douces, bien qu’en arrière plan apparaissent de fugace notes de poivre vert.



Arrivé au deuxième tiers les senteurs se font largement plus terreuses, mais généreuses et opulentes, ce tabac est décidemment, à l’instar des Semois en général, très gourmand olfactivement, de belles notes épicées sucrées soutenues par de belles envolées empyreumatiques de feu de bois froid et de pain grillé.

Sur le plan gustatif, le bougre est plus pressant, plus présent, mais aussi très riche. Il surfe sur les notes de terres humides, de poivres (vert et gris) et sur de belles, mais fugaces, notes de café torréfié, de moka onctueux dirais je plutôt.

Dans le troisième tiers ces fameuses notes caramélisées, dans les écumes, apparaissent enfin !!!! comme si tout le sucre du tabac était concentré au fond de la pipe et soumis à la chaleur de combustion se révélait. Une véritable merveille, une explosion, un feu d’artifice gustatif et olfactif…………..Aaaaaaaaaarrrrggghhh je prends mon pied, et ne sais plus quoi écrire !!!! Que dire, qu’écrire de plus…………… C’EST TROP TROP BON !!!!!!!!!

En conclusion je dirais que :
La coupe fine est adaptée à de petits foyers, à accompagner d’un bon expresso bien serré. Il est très tonique, brule évidemment vite et fait un excellent réveille papilles du matin.
La coupe moyenne est merveilleusement équilibrée, s’adapte à toutes tailles de foyers et peux être fumée tout au long de la journée, son fumage est aisé et gourmand, il fera aussi bien son office après un jambon beurre qu’après un repas plus capiteux.
La très grosse coupe est également adaptée aux différentes tailles de foyers, même si elle est plus à l’aise dans un foyer généreux, en sortie d’un bon dîner arrosé il sera un excellent compagnon pour un single malt ou, mieux à mon goût, un très vieux rhum.

Voili, voilou

J'en reste sur mon derrière Bébert,ton analyse est pure poésie,à te lire
on sort de son propre contexte pour entrer directement dans les
volutes de tes descriptions,presque un rêve!
Rêve qui me rappelle mon incapacité d'analyser quoique ce soit d'un
tabac,mais qui porte à ma connaissance les mots qui vont m'aider à
le faire.Merci pour cet appréciable travail si agréable à lire.

Merci Bebert ! Une review bien détaillée comme tu sais les faire ( ben quand on aime, c'est certain!). Moi qui n'appréciait pas les Semois jusqu'à il y a peu...

La semaine dernière tu m'as fait gouter de ce Cordemoy, et j'avais grandement aimé. A la lecture de tes description il est évident que je vais m'engager plus avant dans la découverte des Semois...

Merci pour ces tests comparatifs, et détaillés. A te lire je crois que c'est la très grosse coupe qui aurait ma faveur.

Quelques mots à propos du "testeur", pour commencer.

On croit le connaître bebert, un mec sympa avec un de ces "assents" pas possibles qui rappellent immédiatement à vos bons souvenirs les plus beaux films de Marcel Pagnol...

...et puis un jour, en se baladant sur le Net, on tombe par hasard presque sur des trucs "fous" de ce genre, qui ont en plus de culot de se prévaloir d'avoir été signés de sa propre main:









Et là... à travers la délicatesse des palettes chromatiques mises en œuvres, la finesse et les équilibres subtils des compositions, on commence à prendre toute la mesure non seulement de la sensibilité peu commune de cet aimable méridional, mais encore de la justesse de son coup d'œil et de son indéniable talent à exprimer, à laisser paraître, ce qui ne va pas toujours de soi lorsqu'on souhaite le communiquer à d'autres, c'est-à-dire à le partager.

"Mais qu'est-ce que cela a donc à faire avec le Cordemoy?", demanderont peut-être certains ?

Et bien, si étrange que cela puisse sembler, ça a tout, non plus à voir, mais à goûter, cette fois, avec ce remarquable Semois.

Depuis près d'un an et demi, ce tabac est, avec le cher "Vert de Gris", mon "pain quotidien". Je l'ai fumé sous toutes ses formes et dans les pipes les plus variées qui soient (bruyères, écumes et terres, de toutes tailles), et je demeure ébahi de retrouver sous la plume de notre Marseillais bien-aimé (tant pis pour le PSG! ) une description aussi judicieusement détaillée, précise, des sensations tant gustatives qu'olfactives qui ont ont fait de ma pomme un inconditionnel "aficionado" de ce Jean-Paul Couvert.

Alors, bravo, mille fois bravo, bebert, et, une fois encore merci pour cette revue magistralement rédigée par le "pro de chez pro" que tu es.

Je manque un peu de courage pour lire ta revue Bebert ce soir, mais tes tableaux !!!



Et c'est un "artiste" qui te le dis !
Je serais curieux de savoir quelles techniques tu utilises....

Superbe revue Bébert, merci beaucoup !

J'avais presque l'impression de sentir et goûter toutes ces saveurs au fur et à mesure de la lecture

GEORGES-ALAIN a écrit:J'en reste sur mon derrière Fred,ton analyse est pure poésie

c'est fou ça! même quand il dit rien, on parle de lui... c'est pas juste!!!!
@georges-alan: dans le cas présent, c'est pas fred, mais bebert le poète!

et bravo à toi bebert!

Bravo à Georges-Alain d'avoir su reconnaître sous la plume de Bebert le talent de votre serviteur...

Naaan, bravo bebert pour cette revue. Je ne comprends pas tout mais tes mots font une jolie musique !

A te lire, je pense que ma préférence irait a la coupe moyenne, pour ses notes de brioche toastée.

J'ai rectifié,merci Twisel....

Merci les gars, tiens là précisémment en relisant la revue je me suis donné envie de me remettre un peu de grosse coupe dans une Piazzolla

A votre santé les amis, je l'accompagne d'un bon ti'punch.

Un petit up, histoire de ......

bebert a écrit:Un petit up, histoire de ......

Ah je n'ai pas encore eu le temps de te lire mais je suis sûr que c'est sensas ! Mais quand j'aurais un moment de tranquillité, pour déguster ta review…

Reviews magnifiques!!!!

Je n'ai qu'un seul mot:

Comme toujours, Bebert nous surprend et nous enchante ! Nous n'avons plus qu'à bourrer nos bouffardes de... Cordemoy qui est aussi mon quotidien, comme tous les semois !

Remarque 1: le paquet de 250G chez JP Couvert passe à 20,50€. Ce qui met les 50G à 4,10€ et à 3,28€ les 40G (pour comparer aux gris). Il reste le tabac le moins cher, et probablement le meilleur des bruns.

Remarque 2: le test de juillet (coupe moyenne) semble t'avoir enchanté davantage que celui de décembre. Cela a-t-il un rapport avec le séchage du tabacs ?... Selon ta description, si je t'ai bien lu, il semblait moins sec en juillet. Or tu le sais, je suis plutôt adepte du semois "brins souples", ma préférence, allant à la coupe moyenne, bien que je ne crache pas sur la TGC n°9 ! Je n'aime pas le tabac sec, quel qu'il soit, que je trouve dans tous les cas plus irritant pour les papilles et pour la gorge et surtout moins savoureux. Je suppose que toutes les papilles ne ressentent pas les choses pas de la même manière, puisque certains fumeurs trouvent plus doux et plus savoureux les semois secs !