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Du semois dans le Samuel Gawith 1792 ?
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Du semois dans le Samuel Gawith 1792 ?
Eh bien oui.
D'aucun me diront "mais avec quoi tu viens bonhomme ? C'est un truc qu'on fait tous les jours, ça..."
Pas grave, ca m'a tellement plu que je vous en fais une mini-review.
Donc, bon, hier soir, j'avais envie de fumer du SG 1792 dans ma stanwell navy 54. Malheur ! plus qu'une tranche dans la boîte...
Ni une ni deux je m'en vais chercher mon paquet de Vincent Manil "Réserve du Patron", et je mixe les deux tabacs en des proportions guidées par mon instinct et Gil Grissom (ben oui, je me vidais la cervelle devant TF1... faut bien que de temps en temps je vous apporte quelques preuves de mon humanité).
A vue de pif (jimhar calme toi tout de suite, je ne parle pas de tabacs peterson), je dirais moitié-moitié, halvenhalve, kif kif et bourricot.
Un bon malaxage, et hop ! au fourneau. Point besoin de séchage, la sécheresse du semois équilibre parfaitement l'humidité relative du 1792.
3...2...1... allumage.
Ouh là là. Gros gros kif ! Quelle harmonie, quelle symphonie ! Le tonka s'harmonise divinement avec les saveurs de foin coupé du semois. Pour ceux qui trouvent la saveur du tonka trop forte ou écoeurante, ca l'adoucit sans l'effacer. Pour ceux qui trouvent le semois trop monolithique, ca lui donne plus de corps, le mélange évolue au fur et à mesure, sans jamais devenir indigeste. Beaucoup de douceurs dans ce mélange, certainement grâce à la note sucrée des virginia qui peuvent ici se révéler sans être écrasés par le tonka.
(en aparté) Paragraphe dispensable : On passe par des saveurs de cordes d'arbalète, de cure-dents au curry, de soie de chine aux parfums entêtants de femmes mystérieuses et diaphanes s'évaporant au coin d'une ruelle encombrée de bois de santal, de sombres granges au milieu d'une clairière de pins un après-midi d'été, de forêts de bambous le soir lorsque tombe la rosée (bon, vous aurez compris, je brode pour tenter maladroitement de masquer ma totale incapacité à retranscrire les odeurs et saveurs)... Fin de l'aparté.
Bref, mon take-home-message : c'est vachement bon ! On en sort rassasié mais pas étourdi, satisfait, heu-reux !
D'aucun me diront "mais avec quoi tu viens bonhomme ? C'est un truc qu'on fait tous les jours, ça..."
Pas grave, ca m'a tellement plu que je vous en fais une mini-review.
Donc, bon, hier soir, j'avais envie de fumer du SG 1792 dans ma stanwell navy 54. Malheur ! plus qu'une tranche dans la boîte...
Ni une ni deux je m'en vais chercher mon paquet de Vincent Manil "Réserve du Patron", et je mixe les deux tabacs en des proportions guidées par mon instinct et Gil Grissom (ben oui, je me vidais la cervelle devant TF1... faut bien que de temps en temps je vous apporte quelques preuves de mon humanité).
A vue de pif (jimhar calme toi tout de suite, je ne parle pas de tabacs peterson), je dirais moitié-moitié, halvenhalve, kif kif et bourricot.
Un bon malaxage, et hop ! au fourneau. Point besoin de séchage, la sécheresse du semois équilibre parfaitement l'humidité relative du 1792.
3...2...1... allumage.
Ouh là là. Gros gros kif ! Quelle harmonie, quelle symphonie ! Le tonka s'harmonise divinement avec les saveurs de foin coupé du semois. Pour ceux qui trouvent la saveur du tonka trop forte ou écoeurante, ca l'adoucit sans l'effacer. Pour ceux qui trouvent le semois trop monolithique, ca lui donne plus de corps, le mélange évolue au fur et à mesure, sans jamais devenir indigeste. Beaucoup de douceurs dans ce mélange, certainement grâce à la note sucrée des virginia qui peuvent ici se révéler sans être écrasés par le tonka.
(en aparté) Paragraphe dispensable : On passe par des saveurs de cordes d'arbalète, de cure-dents au curry, de soie de chine aux parfums entêtants de femmes mystérieuses et diaphanes s'évaporant au coin d'une ruelle encombrée de bois de santal, de sombres granges au milieu d'une clairière de pins un après-midi d'été, de forêts de bambous le soir lorsque tombe la rosée (bon, vous aurez compris, je brode pour tenter maladroitement de masquer ma totale incapacité à retranscrire les odeurs et saveurs)... Fin de l'aparté.
Bref, mon take-home-message : c'est vachement bon ! On en sort rassasié mais pas étourdi, satisfait, heu-reux !
Fred- TBfan
- Nombre de messages : 5633
Age : 48
Localisation : Hainaut Occidental
Date d'inscription : 21/01/2010
Re: Du semois dans le Samuel Gawith 1792 ?
Belle review sur un mélange Pifométrique de génie, surement !
Dommage que tu n'ai pas reconnu la saveur discrète de la coquille d'escargot écrasée par un pneu usé sur un bitume défoncé, un soir d'équinoxe automnale sur la N57 juste à la sortie de Vesoul...c'est une sensation que je recherche depuis longtemps...
Dommage que tu n'ai pas reconnu la saveur discrète de la coquille d'escargot écrasée par un pneu usé sur un bitume défoncé, un soir d'équinoxe automnale sur la N57 juste à la sortie de Vesoul...c'est une sensation que je recherche depuis longtemps...
Re: Du semois dans le Samuel Gawith 1792 ?
Ah oui tout de même...!
Merci Fred.
Il me reste plus qu'à trouver le SG 1792 et le Sémois idoine et je me lance !
Merci Fred.
Il me reste plus qu'à trouver le SG 1792 et le Sémois idoine et je me lance !
Woopty- TBphile
- Nombre de messages : 1739
Age : 48
Localisation : Moselle
Date d'inscription : 01/06/2010
Re: Du semois dans le Samuel Gawith 1792 ?
Je pense que le résultat devrait etre approchant avec du gris. J'essayerai un de ces jours, tiens !
Fred- TBfan
- Nombre de messages : 5633
Age : 48
Localisation : Hainaut Occidental
Date d'inscription : 21/01/2010
Re: Du semois dans le Samuel Gawith 1792 ?
le gris a quand même un goût caractéristique, je pense pas que ça donne la même chose... mais faut essayer!
twisel- TBfan
- Nombre de messages : 5942
Age : 44
Localisation : strasbourg
Date d'inscription : 17/02/2010
Re: Du semois dans le Samuel Gawith 1792 ?
Rafraichissante et affriolante revue.
(en aparté, est-ce que ce ne serait pas un clin d'œil sardonique... )
(en aparté, est-ce que ce ne serait pas un clin d'œil sardonique... )
tibalt- TBphile
- Nombre de messages : 3809
Age : 45
Localisation : Rhône Alpes.
Date d'inscription : 02/06/2010
Re: Du semois dans le Samuel Gawith 1792 ?
oui ça sent le clin d'oeil... Le mélange des deux est excellent, mais je préfère le 1792 seul et son tonka qui vous frappe en pleine poire... merci fred, belle review.
luc- TBbuddy
- Nombre de messages : 854
Age : 42
Localisation : loiret
Date d'inscription : 12/07/2010
Re: Du semois dans le Samuel Gawith 1792 ?
My pleasure.
J'aime aussi le 1792 pur, hein, qu'on ne se trompe pas !
Un clin d'oeil sardonique ???? Chuis supris... et déçu que vous pensiez cela de moi...
J'aime aussi le 1792 pur, hein, qu'on ne se trompe pas !
Un clin d'oeil sardonique ???? Chuis supris... et déçu que vous pensiez cela de moi...
Fred- TBfan
- Nombre de messages : 5633
Age : 48
Localisation : Hainaut Occidental
Date d'inscription : 21/01/2010
luc- TBbuddy
- Nombre de messages : 854
Age : 42
Localisation : loiret
Date d'inscription : 12/07/2010
Re: Du semois dans le Samuel Gawith 1792 ?
c'est quoi sardonique?
twisel- TBfan
- Nombre de messages : 5942
Age : 44
Localisation : strasbourg
Date d'inscription : 17/02/2010
Re: Du semois dans le Samuel Gawith 1792 ?
twisel a écrit:c'est quoi sardonique?
Rassures toi, rien de sexuel là dedans ! ! !
mpm.bandit- TBphile
- Nombre de messages : 3685
Age : 65
Localisation : Ile de France
Date d'inscription : 12/02/2010
Re: Du semois dans le Samuel Gawith 1792 ?
Mais qu'en dit Jonathan Szajman dans son excellent post du 08-01-2004
Le rire sardonique est-il un rire sarde, spécifique aux habitants de la Sardaigne ? Enquête sur un rire hérité de l'antiquité grecque, dont la signification incertaine est l'occasion d'un petit voyage rigolo au pays des mots du rire.
Si on peut simplement rire de bon cœur, on peut aussi avoir un fou rire, qui devient un « rire incontrôlable » en anglais (« to laugh uncontrollably »). On peut évoquer le rire à gorge déployée (« to roar with laughter »). Bref, les formes - notamment des rides (rire se dit « ridere » en italien) - que prend le visage au moment du rire donnent des indications sur l'effet provoqué par un jeu de mots, une attitude, une situation ... A ce propos, j'aimerais qu'on puisse me dire comment dérider (« to cheer up » en anglais) notre rédactrice en chef lorsque je suis en retard pour rendre mes articles !
On doit ajouter à notre courte liste des causes du rire les diverses substances qui peuvent le provoquer, par exemple le vin, le cannabis ...
Ou encore la « sardonia herba », c'est-à-dire l'herbe de Sardaigne. Du nom de cette plante provient l'expression d'un autre rire, le rire « sardonique ». La consommation de cette herbe toxique provoque un type de rire involontaire, convulsif, une grimace du visage se contractant sous l'effet de spasmes, tordant la face en une moue involontaire. Tout le contraire d'un rire « au éclat », pour lequel les hispanophones dispose d'un mot unique ; « carcajear ».
Des auteurs grecs dès l'Antiquité ont supposé que l'origine du rire « sardonique » venait de l'ingestion de cette « sardonia herba » dont Ambroise Paré disait qu'elle « rend les hommes insensés » en exprimant un « ris [= rire] malheureux et mortel ». Depuis, le rire sardonique désigne un rire sarcastique, moqueur, méchant.
Dans une version très éloignée, on trouve l'origine de cette expression dans la mythologie grecque, autour de l'histoire d'Europe. Europe, fille du roi de Phénicie (Liban actuel), fut enlevée par Zeus métamorphosé en taureau puis déposée en Crète où elle donna trois fils au dieu des dieux. Zeus fit alors trois cadeaux, dont un homme de bronze ; Talos, qui fut chargé de défendre l'île contre les intrusions. Il s'acquittait de sa tâche, qui change d'une variante de ce mythe à une autre, en jetant des rochers sur les assaillants ou en les enserrant après s'être rougi au feu. Et ainsi on peut lire dans Les mythes grecs de R. Gravel (éd. Fayard, 1967) que « lorsque les habitants de la Sardaigne essayèrent d'envahir l'île, Talos [...] les extermina tous [...] avec un rire sauvage ; d'où l'expression : un rire sardonique ».
Reprenant un mot d'Aristote, François Rabelais a écrit : « Rire est le propre de l'homme
». Si le rire est le propre de notre race, le rire malheureux, qui exprime la douleur, l'est aussi tout comme le rire moqueur ou le rire ironique. Mais consolons-nous ; on peut aussi pleurer de rire, et souvenons-nous avec messieurs Shargorodsky que « pour vivre longtemps, il faut souvent mourir de rire ».
Merci aux éditions Larousse, Robert et PUF pour leurs contributions (involontaires) à mes recherches.
Écrit par Jonathan Szajman
On doit ajouter à notre courte liste des causes du rire les diverses substances qui peuvent le provoquer, par exemple le vin, le cannabis ...
Ou encore la « sardonia herba », c'est-à-dire l'herbe de Sardaigne. Du nom de cette plante provient l'expression d'un autre rire, le rire « sardonique ». La consommation de cette herbe toxique provoque un type de rire involontaire, convulsif, une grimace du visage se contractant sous l'effet de spasmes, tordant la face en une moue involontaire. Tout le contraire d'un rire « au éclat », pour lequel les hispanophones dispose d'un mot unique ; « carcajear ».
Des auteurs grecs dès l'Antiquité ont supposé que l'origine du rire « sardonique » venait de l'ingestion de cette « sardonia herba » dont Ambroise Paré disait qu'elle « rend les hommes insensés » en exprimant un « ris [= rire] malheureux et mortel ». Depuis, le rire sardonique désigne un rire sarcastique, moqueur, méchant.
Dans une version très éloignée, on trouve l'origine de cette expression dans la mythologie grecque, autour de l'histoire d'Europe. Europe, fille du roi de Phénicie (Liban actuel), fut enlevée par Zeus métamorphosé en taureau puis déposée en Crète où elle donna trois fils au dieu des dieux. Zeus fit alors trois cadeaux, dont un homme de bronze ; Talos, qui fut chargé de défendre l'île contre les intrusions. Il s'acquittait de sa tâche, qui change d'une variante de ce mythe à une autre, en jetant des rochers sur les assaillants ou en les enserrant après s'être rougi au feu. Et ainsi on peut lire dans Les mythes grecs de R. Gravel (éd. Fayard, 1967) que « lorsque les habitants de la Sardaigne essayèrent d'envahir l'île, Talos [...] les extermina tous [...] avec un rire sauvage ; d'où l'expression : un rire sardonique ».
Reprenant un mot d'Aristote, François Rabelais a écrit : « Rire est le propre de l'homme
». Si le rire est le propre de notre race, le rire malheureux, qui exprime la douleur, l'est aussi tout comme le rire moqueur ou le rire ironique. Mais consolons-nous ; on peut aussi pleurer de rire, et souvenons-nous avec messieurs Shargorodsky que « pour vivre longtemps, il faut souvent mourir de rire ».
Merci aux éditions Larousse, Robert et PUF pour leurs contributions (involontaires) à mes recherches.
Écrit par Jonathan Szajman
Dernière édition par mpm.bandit le Mar 7 Sep - 3:47, édité 2 fois
mpm.bandit- TBphile
- Nombre de messages : 3685
Age : 65
Localisation : Ile de France
Date d'inscription : 12/02/2010
Re: Du semois dans le Samuel Gawith 1792 ?
Pour moi, sardonique, c'est "qui se rapporte aux sardines", un peu comme le nonos pour le chien...
Fred- TBfan
- Nombre de messages : 5633
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Localisation : Hainaut Occidental
Date d'inscription : 21/01/2010
Re: Du semois dans le Samuel Gawith 1792 ?
Les nonos, j'ai toujours cru que c'étaient des petits robots ! ! !
mpm.bandit- TBphile
- Nombre de messages : 3685
Age : 65
Localisation : Ile de France
Date d'inscription : 12/02/2010
Re: Du semois dans le Samuel Gawith 1792 ?
Ou la confiture pour les cochons...
Nan je déconne Fred
Nan je déconne Fred
Woopty- TBphile
- Nombre de messages : 1739
Age : 48
Localisation : Moselle
Date d'inscription : 01/06/2010
Re: Du semois dans le Samuel Gawith 1792 ?
Erlin a écrit:Mais Sarkonique, c'est pas une insulte ?
Dide- TBphile
- Nombre de messages : 1177
Age : 63
Localisation : Herault (Pandora of course)
Date d'inscription : 21/04/2010
Re: Du semois dans le Samuel Gawith 1792 ?
Fred a écrit:Je pense que le résultat devrait etre approchant avec du gris. J'essayerai un de ces jours, tiens !
Attention aux proportions, l'arome du Gris prend facilement le dessus.
Mais pour une bonne combustion dans un mélange, c'est idéal !
Petite précision en passant
Notre Fred, il arrive enloursdé et pis y nous balance :
Enfin, moi, je dis ça, c'est pas pour foutre ma merdre, mais si j'peux aider . . .
Fred a écrit:Eh bien oui.
.../...
Donc, bon, hier soir, j'avais envie de fumer du SG 1792 dans ma stanwell navy 54. Malheur ! plus qu'une tranche dans la boîte...
Ni une ni deux je m'en vais chercher mon paquet de Vincent Manil "Réserve du Patron", et je mixe les deux tabacs en des proportions guidées par mon instinct et Gil Grissom
.../...
Bref, mon take-home-message : c'est vachement bon ! On en sort rassasié mais pas étourdi, satisfait, heu-reux !
Pis on doit croire qu'il prends 2 pincées de tabac comme ça et pis Hop ! ! !
Dis donc, le Fred, ça fait un moment que tu nous parles de tes pots et de tes tabacs et de tes pots et des tes tabacs . . . Pour le mélange du siècle, ça s'rait ti pas plutôt qu't'aurais eu des libéralités avec le chat ? ? ? Et que le chat il aurait fait une carabistouille ? ? ?
Dis donc, le Fred, ça fait un moment que tu nous parles de tes pots et de tes tabacs et de tes pots et des tes tabacs . . . Pour le mélange du siècle, ça s'rait ti pas plutôt qu't'aurais eu des libéralités avec le chat ? ? ? Et que le chat il aurait fait une carabistouille ? ? ?
Et que le fred, qu'aime po j'ter, ben l'aurai trié le tabac et pis qu'il l'aurait fumé et pis qu'il l'aurait aimé ? ? ?
Enfin, moi, je dis ça, c'est pas pour foutre ma merdre, mais si j'peux aider . . .
Dernière édition par mpm.bandit le Mer 8 Sep - 0:21, édité 1 fois
mpm.bandit- TBphile
- Nombre de messages : 3685
Age : 65
Localisation : Ile de France
Date d'inscription : 12/02/2010
Re: Du semois dans le Samuel Gawith 1792 ?
c'est ce que j'ai dit, mais personne ne m'écoute jamais...SYL2Oh a écrit:Fred a écrit:Je pense que le résultat devrait etre approchant avec du gris. J'essayerai un de ces jours, tiens !
Attention aux proportions, l'arome du Gris prend facilement le dessus.
Mais pour une bonne combustion dans un mélange, c'est idéal !
twisel a écrit:le gris a quand même un goût caractéristique, je pense pas que ça donne la même chose... mais faut essayer!
twisel- TBfan
- Nombre de messages : 5942
Age : 44
Localisation : strasbourg
Date d'inscription : 17/02/2010
Re: Du semois dans le Samuel Gawith 1792 ?
mpm.bandit a écrit:Notre Fred, il arrive enloursdé et pis y nous balance :Fred a écrit:Eh bien oui.
.../...
Donc, bon, hier soir, j'avais envie de fumer du SG 1792 dans ma stanwell navy 54. Malheur ! plus qu'une tranche dans la boîte...
Ni une ni deux je m'en vais chercher mon paquet de Vincent Manil "Réserve du Patron", et je mixe les deux tabacs en des proportions guidées par mon instinct et Gil Grissom
.../...
Bref, mon take-home-message : c'est vachement bon ! On en sort rassasié mais pas étourdi, satisfait, heu-reux !Pis on doit croire qu'il prends 2 pincées de tabac comme ça et pis Hop ! ! !
Dis donc, le Fred, ça fait un moment que tu nous parles de tes pots et de tes tabacs et de tes pots et des tes tabacs . . . Pour le mélange du siècle, ça s'rait ti pas plutôt qu't'aurais eu des libéralités avec le chat ? ? ? Et que le chat il aurait fait une carabistouille ? ? ?Et que le fred, qu'aime po j'ter, ben l'aurai trié le tabac et pis qu'il l'aurait fumé et pis qu'il l'aurait aimé ? ? ?
Enfin, moi, je dis ça, c'est pas pour foutre ma merdre, mais si j'peux aider . . .
Sorry (ca évite les débats sur "s'excuser" vs. "présenter ses excuses") mais je ne "Bip! pas une broque" de ce que tu nous racontes...
Tu as l'air de mettre en doute ce que je vous ai raconté, ce qui me paraît une bien étrange et paranoïaque attitude.
Plus assez de 1792 pour remplir ma pipe, j'y ajoute du semois (ce que je fais habituellement avec la plupart des tabacs que je fume en fait, meme si je ne vous relate pas toutes ces "experiences" qui souvent donnent un truc fumable sans plus), il est 22h, j'ai pas envie de sortir la balance, donc je fais le mélange au pifomètre, je fume le tout, c'est super bon, je le dis... je vois pas pourquoi j'inventerais ce genre d'histoire. Il me semble que mes élucubrations sont habituellement assez facilement détectables.
Ensuite, tu me soupçonnes de zoophilie...
Je suppose que la formule "le fred" est plus amicale que condescendante (et svp pas de jeu de mot vaseux...). Moi elle m'apparaît méprisante, mais ce n'est que mon sentiment personnel.
Bref, soit tu m'insultes plus ou moins explicitement sans raison, et tu "fous ta merde" bien que tu t'en défendes, soit en effet je n'ai strictement rien compris a ce message. Tu peux me re-expliquer, stp ?
Fred- TBfan
- Nombre de messages : 5633
Age : 48
Localisation : Hainaut Occidental
Date d'inscription : 21/01/2010
Re: Du semois dans le Samuel Gawith 1792 ?
C'est une blague amicale, basée sur ta façon de stocker ton tabac et une BD de Garfield.
Elle supposait qu'un chat avait renversé tes pots à tabacs et que 2 d'entre eux s'étaient brisés, créant le mélange accidentellement.
Le Fred a en effet une connatation amicale et familière.
Les libéralités données au chat consistaient, selon l'interprétation de Garfield dans la BD à lui donner l'autorisation d'être dévastateur (alors que dans l'esprit de son maître il ne s'agissait que d'une constatation quant-à sa propension à commettre des dégats).
Faut dire que je ne sais pas trop pourquoi l'image n'était pas passée . . .
Ah la barrière de la langue ! ! !
D'un pays à l'autre les expressions ne sont pas perçues de la même façon . . . D'où des quiproquos.
alors Fred, excuses moi si je t'ai, fort involontairement, vexé, tel n'était pas mon propos.
Elle supposait qu'un chat avait renversé tes pots à tabacs et que 2 d'entre eux s'étaient brisés, créant le mélange accidentellement.
Le Fred a en effet une connatation amicale et familière.
Les libéralités données au chat consistaient, selon l'interprétation de Garfield dans la BD à lui donner l'autorisation d'être dévastateur (alors que dans l'esprit de son maître il ne s'agissait que d'une constatation quant-à sa propension à commettre des dégats).
Faut dire que je ne sais pas trop pourquoi l'image n'était pas passée . . .
Ah la barrière de la langue ! ! !
D'un pays à l'autre les expressions ne sont pas perçues de la même façon . . . D'où des quiproquos.
alors Fred, excuses moi si je t'ai, fort involontairement, vexé, tel n'était pas mon propos.
mpm.bandit- TBphile
- Nombre de messages : 3685
Age : 65
Localisation : Ile de France
Date d'inscription : 12/02/2010
Re: Du semois dans le Samuel Gawith 1792 ?
Je n'avais donc rien compris au message de bandit. La fatigue sans doute.
Pardon a lui pour ma mini-gueulante.
Fred
PS : ceci dit, l'hypothèse du chat bocaloclaste est loin d'etre stupide. Il y en a 5 (dont 3 de 2 mois) à la maison en ce moment...
Pardon a lui pour ma mini-gueulante.
Fred
PS : ceci dit, l'hypothèse du chat bocaloclaste est loin d'etre stupide. Il y en a 5 (dont 3 de 2 mois) à la maison en ce moment...
Fred- TBfan
- Nombre de messages : 5633
Age : 48
Localisation : Hainaut Occidental
Date d'inscription : 21/01/2010
Re: Du semois dans le Samuel Gawith 1792 ?
Sauf erreur de ma part tu y avais fait allusion dans un de tes posts ce qui m'a donné l'idée . . .
mpm.bandit- TBphile
- Nombre de messages : 3685
Age : 65
Localisation : Ile de France
Date d'inscription : 12/02/2010
Re: Du semois dans le Samuel Gawith 1792 ?
... Alzheimer... Alzheimer...
Fred- TBfan
- Nombre de messages : 5633
Age : 48
Localisation : Hainaut Occidental
Date d'inscription : 21/01/2010
Re: Du semois dans le Samuel Gawith 1792 ?
ah... je croyais que c'était le rire de michel...
luc- TBbuddy
- Nombre de messages : 854
Age : 42
Localisation : loiret
Date d'inscription : 12/07/2010
Re: Du semois dans le Samuel Gawith 1792 ?
Je relance ce fil pour simplement vous dire que je suis en train de fumer ce mélange improvisé par Fred.
Pas mal du tout, très équilibré et étonnant. En effet aucun des deux tabacs n'est "étouffé" par l'autre, au contraire chacun d'eux est embellie au contact de son compagnon de pipée.
Merci Fred, une idée sympa ce mélange.
Pas mal du tout, très équilibré et étonnant. En effet aucun des deux tabacs n'est "étouffé" par l'autre, au contraire chacun d'eux est embellie au contact de son compagnon de pipée.
Merci Fred, une idée sympa ce mélange.
Re: Du semois dans le Samuel Gawith 1792 ?
Hein ouais que c'est étonnamment bon, ce truc ?
Fred- TBfan
- Nombre de messages : 5633
Age : 48
Localisation : Hainaut Occidental
Date d'inscription : 21/01/2010
Re: Du semois dans le Samuel Gawith 1792 ?
twisel a écrit:c'est ce que j'ai dit, mais personne ne m'écoute jamais...SYL2Oh a écrit:Fred a écrit:Je pense que le résultat devrait etre approchant avec du gris. J'essayerai un de ces jours, tiens !
Attention aux proportions, l'arome du Gris prend facilement le dessus.
Mais pour une bonne combustion dans un mélange, c'est idéal !twisel a écrit:le gris a quand même un goût caractéristique, je pense pas que ça donne la même chose... mais faut essayer!
Meuh non Twisel...Moi je t'écoute! Allez, ressaisis-toi on va aller manger des moules et des frites! Avec du vin de Moselle!
Invité- Invité
Re: Du semois dans le Samuel Gawith 1792 ?
moi c'est twisel, hein! pas jef!
twisel- TBfan
- Nombre de messages : 5942
Age : 44
Localisation : strasbourg
Date d'inscription : 17/02/2010
Re: Du semois dans le Samuel Gawith 1792 ?
twisel a écrit:moi c'est twisel, hein! pas jef!
Invité- Invité
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